« Cela traduit la mentalité des Sénégalais qui ont en commun de vouloir tout, tout de suite, sans aucun effort. Le résultat, c’est ce qui se passe à Dubaï », déplore-t-il dans les colonnes de L’Observateur de ce mercredi.
Ahmet Khalifa Niasse estime que le Sénégal est confronté à « une crise générale », qui est une conséquence de la précarité ambiante.
« Si les poches sont vides, les malades ne peuvent pas se soigner, s’il y a la famine et le chômage, si l’enseignement n’est pas de très bonne qualité, tout cela donne un ensemble de résultats négatifs. Chacun dit : ‘’je le fais pour ma mère, mes parents… C’est la société qui est pesante."
Ahmet Khalifa Niasse estime que le Sénégal est confronté à « une crise générale », qui est une conséquence de la précarité ambiante.
« Si les poches sont vides, les malades ne peuvent pas se soigner, s’il y a la famine et le chômage, si l’enseignement n’est pas de très bonne qualité, tout cela donne un ensemble de résultats négatifs. Chacun dit : ‘’je le fais pour ma mère, mes parents… C’est la société qui est pesante."
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