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Ndèye Absa Gningue : "le réseautage offre des perspectives et des opportunités d’affaires pour les femmes"

COUP DE COEUR
Lundi 20 Novembre 2017

Aux femmes entrepreneurs, il est tout à fait possible de développer son entreprise et ainsi devenir autonome financièrement sans avoir à faire le pied de grue devant les institutions financières. Et ce, par le réseautage. C’est ce qu’a soutenu samedi dernier, à Dakar, Ndèye Absa Gningue, à l’occasion de la célébration de la deuxième édition du Women’s Day.
 
«Vous pouvez répondre au mieux et de manière pragmatique à vos soucis de finances et de savoir faire pour matérialiser votre idée de création d’entreprises aux fins d’améliorer votre quotidien. Et ceci, par le réseautage qui offre des perspectives et des opportunités d’affaires».

C’est l’appel lancé aux femmes, samedi dernier, à Dakar par Ndèye Absa Gningue, à l’occasion de la célébration de la deuxième édition du Women’s Day, traditionnellement fêtée le 19 novembre de chaque année. Pour ce faire, il prime d’avoir avoir accès au marché et à une bonne éducation financière (gestion des finances). En claire, précise-t-elle : «Il faut qu’elles sachent que lorsqu’elles investissent un montant, elles devraient pouvoir espérer gagner plus et au bout du compte sentir un impact réel dans leur vie. Et tant que cette éducation là n’est pas primordial, cela reste un défi», a-t-elle développé.
 
A l’en croire l’entreprenariat semble être le propre des femmes surtout en milieu rural au regard de leurs tâches au quotidien. Une situation péniblement soutenable, faute de moyens financiers ou alors le formalisme insaisissable des conditions d’acquisition de prêt auprès des institutions financières. C’est en réponse à cette problématique que «l’Association dénommée Jeune entrepreneurs africains œuvrant pour le développement Economique régional (Jeader), très active dans le développement et l’accompagnement des initiatives entrepreneuriales trouve son substrat», a-t-elle justifié.
Et d’ajouter: «cette rencontre donne aux unes et aux autres la possibilité de trouver des partenaires et par ricochet trouver des modèles de réussite».
 
Se voulant convainquant, elle dira: «Très souvent les femmes collectent beaucoup de sous à travers les tontines, mais au bout du compte elles dilapident cet argent. Mais, elles doivent mesurer l’effet que produirait cet argent si elles s’étaient engagées dans une affaire. Et c’est sur ce, nous voulons agir pour qu’elles deviennent plus entreprenantes et autonomes financièrement», a-t-elle soutenu.
Avec Sud Quotidien

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