Menu


Union africaine : le bilan du 36e sommet de l’organisation

INTERNATIONAL
Lundi 20 Février 2023

Le 36e sommet des chefs d’États de l’Union africaine s’est achevé dimanche 19 février à Addis-Abeba, en Éthiopie. Les protagonistes ont adopté des dizaines de décisions, déclarations, résolutions et autres motions qui avaient été âprement discutées au sein du Conseil exécutif de l’organisation. Azali Assoumani, le président comorien, a lui pris la tête de l’UA pour un an. Tour d’horizon de ce rendez-vous


Les dizaines de textes adoptés dimanche 19 février vont d’une décision sur le rapport du président rwandais Paul Kagame sur les réformes institutionnelles de l’Union africaine à une motion de remerciements au président sortant, Macky Sall, en passant par une résolution qui revient chaque année sur la levée du blocus que les États-Unis imposent à Cuba depuis des décennies.

Les points qui n’ont pas fait l’objet d’un consensus au niveau des ministres avaient été laissés à la discrétion des chefs d’États, mais plusieurs d’entre eux restent en suspens. C’est le cas pour le statut d’observateur accordé à l’État d’Israël et suspendu depuis une année en attendant le rapport d’un comité ad hoc qui ne s’est pas réuni jusqu’ici. Les chefs d’États ont donc décidé d’attendre ses conclusions. « C’est leur façon d’évacuer un problème qui les divise profondément », reconnaît un cadre de l’UA.

Beaucoup de ces documents sont des vœux pieux. « Ils reviennent chaque année, quasiment sous la même forme », ajoute la même source. Sauf pour celui qui « les préoccupent le plus » dit-elle, en parlant du rapport du Conseil paix et sécurité sur les différentes crises qui secouent le continent.

Organisation d’une conférence de réconciliation en Lybie, renforcement des sanctions contre le Mali, le Burkina Faso et la Guinée décidé par la Cédéao, ou encore appropriation des décisions du mini-sommet sur l’Est de la RDC… Les chefs d’États ont suivi le Conseil paix et sécurité. Mais cela ne veut pas dire que toutes ces crises vont être résolues d’un coup de baguette magique, reconnaît le cadre de l’UA.

L’Union africaine maintient sa « tolérance zéro » face aux changements de pouvoir non-démocratiques

L’Union africaine a réaffirmé sa position, dimanche 19 février, en clôture du 36e sommet de l’organisation, quant aux changements de pouvoir anticonstitutionnels : c’est toujours « tolérance zéro ». En amont du rendez-vous, le Mali, le Burkina Faso et la Guinée, suspendus de l’UA et de la Cédéao suite à des coups d’État, avaient demandé leur réintégration, rappelle Florence Morice à Addis-Abeba. En vain. L’ambassadeur Bankole Adeoye, le commissaire paix et sécurité de l’Union africaine, l’a à nouveau martelé :

« L'assemblée a réaffirmé sa tolérance zéro face aux changements de gouvernement anticonstitutionnels. L'Union africaine maintient qu’elle ne tolère, en aucun cas, les méthodes non-démocratiques pour accéder au pouvoir politique. »

« Le département paix et sécurité de la commission est disponible pour mobiliser davantage de ressources humaines, techniques ou financières pour aider ces pays à faire face au fléau du terrorisme par le biais de la réforme de leur secteur de la sécurité. Je voudrais vraiment vous assurer que nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour aider ces États membres à revenir dans la famille, s’ils travaillent de leur côté à restaurer l'ordre constitutionnel. »

Samedi 18 février, les pays membres de la Cédéao, réunis à Addis-Abeba, avaient également décidé de maintenir leurs sanctions contre le Mali, le Burkina Faso et la Guinée et d’imposer en outre des « interdictions de voyager » aux membres du gouvernement et aux représentants de ces pays. En clôture du sommet de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, le président de la Commission de l’UA, a également invité à réfléchir à l’opportunité de privilégier « les sanctions individuelles » ciblées pour dissuader ceux qui veulent procéder à des changements non constitutionnels pour éviter « que des sanctions générales puisse toucher aux intérêts des populations ».



 


1.Posté par Dossou le 25/02/2023 00:17
Rituel pour devenir riche et puissant (secret des grand roi et empereur d'Afrique)

Grand Marabout médium du Bénin, Professeur DOSSOU. Je vous présente une poudre qui va changer votre vie: La poudre ZINKO des 7 pouvoir de la richesse. La poudre ZINKO des 7 pouvoir de la richesse vous aide à réaliser tout vos rêves. C'est une poudre de richesse des temps ancien utiliser par les grands et puissant Roi. Je suis le seul détenteur de cette poudre mystique car cette connaissance est transmis du père au fils. Aujourd'hui j'ai décidé d'aider tout ceux qui souffre de la pauvreté, la misère et toutes sorte de situation difficile de la vie. La poudre ZINKO des 7 pouvoir de la richesse est une poudre sans inconvénient et qui est préparé spécialement au nom de la personne qui la commande ; ça peut vous aider à gagner aux jeux de hasard ; LOTO, PMU, Euro million... La poudre ZINKO des 7 pouvoir de la richesse est utilisée sur une période de 7 jours d'affilé et ceci chaque année. Pour plus de détail veuillez contacter directement le professeur DOSSOU.

CONTACT MAITRE DOSSOU
E-mail personnel : dahvaudounon@live.fr
Tel- WHATSAPP : +229 68 60 11 72
Site web: https://www.maitre-marabout-dossou.com/

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022