Le paysage politique sénégalais vient de basculer avec force. Ce samedi 15 novembre 2025, l’Axil Hôtel de Dakar a été le théâtre d’un double événement majeur orchestré par Alioune Sarr, Président du Parti Alliance pour le Sénégal / Andando Ngir Senegaal. Au cours d’une Conférence nationale très attendue, l’ancien ministre a dévoilé les fondations d’un nouveau projet politique baptisé la « Troisième Voie », présenté comme une alternative crédible au duel immuable entre pouvoir et opposition.
La journée a d’abord été marquée par la présentation officielle du récépissé légal du parti, actant son entrée dans l’arène politique. En parallèle, Alioune Sarr a procédé à la dédicace de son ouvrage « La République des Carrés – Notto Diobasse Smart City », qui expose une méthode inédite de développement basée sur la territorialisation, la production, la planification et la dignité.
Face à une salle comble réunissant militants, intellectuels, élus locaux, chefs d’entreprise et société civile, Alioune Sarr a planté le décor :
Alioune Sarr diagnostique un secteur privé fortement fragilisé par l’informel et la concentration des opportunités économiques. Il propose la création d’une Agence Nationale Unique des PME, TPE et de l’Artisanat, l’instauration de quotas obligatoires de marchés publics dédiés aux PME nationales, et l'accès facilité aux financements.
Alioune Sarr défend des prix planchers pour les productions stratégiques, l’investissement dans la chaîne du froid et le développement massif de la transformation locale pour réduire la dépendance aux importations.
Il plaide pour une stratégie Gas-to-Power nationale afin de réduire drastiquement le coût de l’électricité.
Le leader de la Troisième Voie propose la création de l’Assistance Médicale Nationale Solidaire (AMNS), financée par l’État, les collectivités territoriales et une part des revenus pétroliers et gaziers.
Cette mesure couvrirait notamment : les familles vulnérables, les détenus, les personnes sans domicile, et les zones rurales éloignées. L’ESS occupe une place centrale dans sa vision. Alioune Sarr annonce : un Fonds national ESS, des Maisons de l’ESS dans les départements, un accès facilité aux financements.
L’avenir dira si cette nouvelle force saura transformer la promesse d’ordre, de méthode et de production en un véritable projet national.
La journée a d’abord été marquée par la présentation officielle du récépissé légal du parti, actant son entrée dans l’arène politique. En parallèle, Alioune Sarr a procédé à la dédicace de son ouvrage « La République des Carrés – Notto Diobasse Smart City », qui expose une méthode inédite de développement basée sur la territorialisation, la production, la planification et la dignité.
Face à une salle comble réunissant militants, intellectuels, élus locaux, chefs d’entreprise et société civile, Alioune Sarr a planté le décor :
« Le Sénégal ne doit plus être prisonnier d’un face-à-face stérile entre pouvoir et opposition. »Au cœur de son discours, il présente la « Troisième Voie » comme une démarche de stabilité, de méthode et de production, portée par une conviction forte :
« Le Sénégal ne sera puissant que si ses territoires sont organisés, productifs et protégés. »Le projet se structure autour de mesures économiques et sociales ambitieuses, pensées pour transformer durablement le modèle de développement national.
Alioune Sarr diagnostique un secteur privé fortement fragilisé par l’informel et la concentration des opportunités économiques. Il propose la création d’une Agence Nationale Unique des PME, TPE et de l’Artisanat, l’instauration de quotas obligatoires de marchés publics dédiés aux PME nationales, et l'accès facilité aux financements.
« Le secteur privé, ce n’est pas une élite : ce sont nos artisans, nos pêcheurs, nos commerçants, nos agriculteurs, nos PME. »Dans sa vision, la formalisation ne peut se faire par la répression :
« Intégrer l’informel, ce n’est pas le taxer : c’est le respecter et lui ouvrir des horizons. »Il propose un modèle de formalisation progressive, adossé à la protection sociale, à l’accès au crédit et à la sécurité des activités.
Alioune Sarr défend des prix planchers pour les productions stratégiques, l’investissement dans la chaîne du froid et le développement massif de la transformation locale pour réduire la dépendance aux importations.
Il plaide pour une stratégie Gas-to-Power nationale afin de réduire drastiquement le coût de l’électricité.
« Le gaz sénégalais doit alléger la vie des familles, pas enrichir des cercles restreints. »Cette mesure vise à stimuler la compétitivité des entreprises tout en soulageant les ménages.
Le leader de la Troisième Voie propose la création de l’Assistance Médicale Nationale Solidaire (AMNS), financée par l’État, les collectivités territoriales et une part des revenus pétroliers et gaziers.
Cette mesure couvrirait notamment : les familles vulnérables, les détenus, les personnes sans domicile, et les zones rurales éloignées. L’ESS occupe une place centrale dans sa vision. Alioune Sarr annonce : un Fonds national ESS, des Maisons de l’ESS dans les départements, un accès facilité aux financements.
« L’ESS est un moteur silencieux mais puissant d’un Sénégal fort de ses territoires. »Il appelle les citoyens, les jeunes, les femmes, les travailleurs et les forces vives à rejoindre la Troisième Voie, présentée comme un projet de stabilité, de souveraineté, et de justice sociale.
« Rejoignez la Troisième Voie. Construisons ensemble un Sénégal stable, souverain et juste. »Avec cette déclaration, la Troisième Voie s’installe comme une alternative politique crédible dans un contexte national marqué par les tensions partisanes et les attentes socio-économiques fortes.
L’avenir dira si cette nouvelle force saura transformer la promesse d’ordre, de méthode et de production en un véritable projet national.