Elle est pathétique, cette classe politique sénégalaise. Surtout quand elle réfléchit en termes de postes et de prébendes. Serigne Mbacké Ndiaye nous l’avait joué sous un air pitoyable de «si on perd, on ira tous en prison». Juste qu’il s’est gouré dans ses prophéties. Karim Wade étant le seul canard boiteux à avoir été en taule parmi la quarantaine de ministres « voleurs » de son père. En tout cas, de la liste de l’ancien si spécial procureur, il a été le seul au gnouf avant d’être relâché dans des conditions pour le moins troubles au nez et à la barbe du peuple qui réclamait justice. Pourtant nos alors opposants et gouvernants d'aujourd'hui disaient que la traque des malfaiteurs de la République wadienne était une demande sociale. Mon œil !
Le directeur de cabinet du chef de l’Etat Omar Youm, lui, il pense en termes de postes et de dividendes. Le sort du peuple, il s’en fiche royalement. Il faut que le président Sall et sa coalition hétéroclite sortent vainqueurs des législatives, sinon lui et ses camarades perdront leurs postes. Il en fait une question de vie ou de mort. Craignez-vous être dépossédé de ces prébendes qui vous rendent d’un coup immensément riche que vous ne l'aurez été durant votre carrière dans les prétoires ? C'est une question de vie ou de mort…
Tristounette, cette classe politique qui ne cesse de tromper la masse pour des privilèges, des passe-droits au moment où le peuple s'enfonce dans la misère et la pauvreté. Il faut que ceux qui nous gouvernent et profitent de quelques avantages trouvent des remèdes idoines à nos pathologies comme cette radiothérapie en panne et qui n'est pas importante aux yeux de Thérèse Faye.
Depuis le voyage du président Sall à DubaÏ, une frange de ce peuple de la misère et de la pauvreté révoltée se réclame de la catégorie des citoyens oisifs-errants. Puisque l'emploi est devenu la denrée la plus rare au Sénégal en dépit des déclarations jubilatoires du ministre des Finances sur la bonne santé de notre économie, il est normal que ces pauvres, qui s'encroûtent dans l'oisiveté, choisissent d'errer, d'errer, d'errer...
Le directeur de cabinet du chef de l’Etat Omar Youm, lui, il pense en termes de postes et de dividendes. Le sort du peuple, il s’en fiche royalement. Il faut que le président Sall et sa coalition hétéroclite sortent vainqueurs des législatives, sinon lui et ses camarades perdront leurs postes. Il en fait une question de vie ou de mort. Craignez-vous être dépossédé de ces prébendes qui vous rendent d’un coup immensément riche que vous ne l'aurez été durant votre carrière dans les prétoires ? C'est une question de vie ou de mort…
Tristounette, cette classe politique qui ne cesse de tromper la masse pour des privilèges, des passe-droits au moment où le peuple s'enfonce dans la misère et la pauvreté. Il faut que ceux qui nous gouvernent et profitent de quelques avantages trouvent des remèdes idoines à nos pathologies comme cette radiothérapie en panne et qui n'est pas importante aux yeux de Thérèse Faye.
Depuis le voyage du président Sall à DubaÏ, une frange de ce peuple de la misère et de la pauvreté révoltée se réclame de la catégorie des citoyens oisifs-errants. Puisque l'emploi est devenu la denrée la plus rare au Sénégal en dépit des déclarations jubilatoires du ministre des Finances sur la bonne santé de notre économie, il est normal que ces pauvres, qui s'encroûtent dans l'oisiveté, choisissent d'errer, d'errer, d'errer...
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