
Six mois seulement après son élection à la présidence de l’Assemblée nationale, El Malick Ndiaye imprime sa marque avec la régularité d’un métronome et la précision d’un horloger. À la tête de l’hémicycle, il ne se contente pas de présider : il réforme, il modernise, il transforme. Sous son impulsion, l’Assemblée nationale est sortie de son cocon institutionnel pour entrer de plain-pied dans l’ère numérique et démocratique.
Le 15 mai 2025 marque un tournant symbolique : le lancement du nouveau site internet de l’Assemblée, vitrine d’une institution résolument tournée vers la transparence et la proximité citoyenne. Pensé comme un portail de lumière, ce site s’ouvre sur les travaux parlementaires comme jamais auparavant : comptes rendus des débats, projets et propositions de loi, interventions des députés, tout y est. Accessible, intuitif, pédagogique – il incarne cette volonté de rapprocher le peuple de ses représentants. Une Assemblée qui s’expose, c’est une démocratie qui respire.
Mais El Malick Ndiaye ne s’arrête pas au numérique. Il reconstruit l’édifice institutionnel brique après brique. Trois commissions ad hoc ont été créées : l’une pour la réforme du règlement intérieur, l’autre pour la révision des règlements administratif et financier, la troisième pour instaurer un véritable suivi de l’action publique. Derrière cette architecture, une ambition : faire de l’Assemblée non plus un théâtre de discours, mais un moteur d’impact.
Loin des effets d’annonce, le président Ndiaye mise sur les outils : chaque député est désormais équipé en matériel informatique. Une première. L’objectif ? Renforcer la qualité du travail parlementaire, fluidifier les échanges, et permettre une production législative à la hauteur des enjeux contemporains.
Le 15 mai 2025 marque un tournant symbolique : le lancement du nouveau site internet de l’Assemblée, vitrine d’une institution résolument tournée vers la transparence et la proximité citoyenne. Pensé comme un portail de lumière, ce site s’ouvre sur les travaux parlementaires comme jamais auparavant : comptes rendus des débats, projets et propositions de loi, interventions des députés, tout y est. Accessible, intuitif, pédagogique – il incarne cette volonté de rapprocher le peuple de ses représentants. Une Assemblée qui s’expose, c’est une démocratie qui respire.
Mais El Malick Ndiaye ne s’arrête pas au numérique. Il reconstruit l’édifice institutionnel brique après brique. Trois commissions ad hoc ont été créées : l’une pour la réforme du règlement intérieur, l’autre pour la révision des règlements administratif et financier, la troisième pour instaurer un véritable suivi de l’action publique. Derrière cette architecture, une ambition : faire de l’Assemblée non plus un théâtre de discours, mais un moteur d’impact.
Loin des effets d’annonce, le président Ndiaye mise sur les outils : chaque député est désormais équipé en matériel informatique. Une première. L’objectif ? Renforcer la qualité du travail parlementaire, fluidifier les échanges, et permettre une production législative à la hauteur des enjeux contemporains.

Et bientôt, un autre jalon : le lancement imminent d’une chaîne parlementaire. Plus qu’un canal de diffusion, ce sera un miroir tendu vers la nation, où les citoyens pourront suivre en temps réel le pouls démocratique du pays. L’Assemblée ne sera plus une boîte noire, mais une maison de verre.
Derrière ces réformes, une philosophie : gouverner autrement. El Malick Ndiaye incarne ce renouveau – calme mais déterminé, enraciné dans les valeurs républicaines mais tourné vers l’innovation. Il a rappelé à tous, lors de la présentation des vœux au Parlement, que l’unité nationale n’est pas un slogan, mais une nécessité. Un Parlement solide, c’est une République forte.
À la croisée du devoir institutionnel et de la révolution numérique, le président de l’Assemblée nationale semble vouloir inscrire son mandat dans la durée… et dans l’histoire. Car si les murs de l’hémicycle ne parlent pas, les réformes, elles, ont déjà commencé à faire du bruit.
Derrière ces réformes, une philosophie : gouverner autrement. El Malick Ndiaye incarne ce renouveau – calme mais déterminé, enraciné dans les valeurs républicaines mais tourné vers l’innovation. Il a rappelé à tous, lors de la présentation des vœux au Parlement, que l’unité nationale n’est pas un slogan, mais une nécessité. Un Parlement solide, c’est une République forte.
À la croisée du devoir institutionnel et de la révolution numérique, le président de l’Assemblée nationale semble vouloir inscrire son mandat dans la durée… et dans l’histoire. Car si les murs de l’hémicycle ne parlent pas, les réformes, elles, ont déjà commencé à faire du bruit.