Les échanges parlementaires ont mis en lumière des divergences profondes sur la taxation des transferts d’argent. Le ministre des Finances reproche aux grands opérateurs du secteur leur faible contribution fiscale : malgré leur activité florissante, certains ne paient ni impôt sur les sociétés ni contribution significative.
Pour Cheikh Diba, l’impôt doit répondre aux principes d’équité. Tous les secteurs de l’économie participent à l’effort fiscal, le numérique ne saurait être une exception.
Cependant, plusieurs députés craignent que cette taxation incite les usagers à privilégier le cash, ce qui réduirait le volume des transactions et pénaliserait les jeunes employés dans le secteur.
Certains ont demandé que l’on taxe plutôt le chiffre d’affaires des opérateurs, une proposition que le ministre juge insuffisante pour atteindre les objectifs de recettes.
Le gouvernement défend de son côté un dispositif équilibré : exonération en dessous de 20 000 F CFA et maintien d’un taux réduit par rapport aux standards internationaux.
Pour Cheikh Diba, l’impôt doit répondre aux principes d’équité. Tous les secteurs de l’économie participent à l’effort fiscal, le numérique ne saurait être une exception.
Cependant, plusieurs députés craignent que cette taxation incite les usagers à privilégier le cash, ce qui réduirait le volume des transactions et pénaliserait les jeunes employés dans le secteur.
Certains ont demandé que l’on taxe plutôt le chiffre d’affaires des opérateurs, une proposition que le ministre juge insuffisante pour atteindre les objectifs de recettes.
Le gouvernement défend de son côté un dispositif équilibré : exonération en dessous de 20 000 F CFA et maintien d’un taux réduit par rapport aux standards internationaux.