Un des pionniers de l’Alliance Pour la République (APR) dans la région de Fatick, Sémou Diouf a lancé dimanche son mouvement MOVISA qui veut jouer pleinement sa partition concertée dans la consolidation d’une nation de référence.
« Si j'ai eu l'idée de lancer ce mouvement c'est parce que j'ai toujours aimé la politique, je suis d'ailleurs membre fondateur de l’Alliance Pour la République, organisation avec laquelle nous avons accédé à la magistrature suprême et qui m’a donné l’opportunité d’être conseiller spécial du Directeur général à l’Apix, Collaborateur du Ministre de la promotion des investissements, collaborateur du Ministre de l’habitat avant que son Excellence Mr le Président de la République ne prenne un décret me nommant comme Président du Conseil de Surveillance de l’Agence d’Aménagement et de promotion des Sites Industriels (APROSI) », a-t-il déclaré.
« Si j'ai eu l'idée de lancer ce mouvement c'est parce que j'ai toujours aimé la politique, je suis d'ailleurs membre fondateur de l’Alliance Pour la République, organisation avec laquelle nous avons accédé à la magistrature suprême et qui m’a donné l’opportunité d’être conseiller spécial du Directeur général à l’Apix, Collaborateur du Ministre de la promotion des investissements, collaborateur du Ministre de l’habitat avant que son Excellence Mr le Président de la République ne prenne un décret me nommant comme Président du Conseil de Surveillance de l’Agence d’Aménagement et de promotion des Sites Industriels (APROSI) », a-t-il déclaré.
Le responsable politique réaffirme son ancrage à la coalition Benno Bokk Yaakar et se dit prêt à aller conquérir le suffrage des Sénégalais pour l’élection d’Amadou Ba à la tête du Sénégal.
« Je voudrai préciser que jusqu’ici notre ancrage reste le BENNO BOKK YAAKAR et exprimer ainsi notre soutien passionné à notre candidat Monsieur le Premier Ministre AMADOU BA en lui, nous trouvons la personne dotée de la vision, de l'intégrité et de la détermination nécessaires pour conduire notre communauté vers de nouveaux horizons…Je ne ménagerai pas ma peine pour faire prospérer son projet politique notre projet et je ne trouverai point de repos avant d'avoir placé cette candidature à la tête de ce pays pour devienne le cinquième président du Sénégal », lance Sémou Diouf.
Dans son discours, le président du conseil de surveillance de l’APROSI n’a pas manqué de tarir d’éloge à l’endroit du Président de la République Macky Sall pour ses 12 années à la tête notre pays
« L’homme Macky Sall possède les connaissances et les compétences nécessaires pour accomplir ses tâches avec efficacité. C'est une qualité précieuse car elle permet d'apporter une contribution significative dans tous les domaines de la vie, que ce soit sur le plan professionnel ou personnel. Il est pour moi cet homme exceptionnel qui a su transformer positivement le visage du Sénégal en l’espace de douze ans », poursuit-il
« Je voudrai préciser que jusqu’ici notre ancrage reste le BENNO BOKK YAAKAR et exprimer ainsi notre soutien passionné à notre candidat Monsieur le Premier Ministre AMADOU BA en lui, nous trouvons la personne dotée de la vision, de l'intégrité et de la détermination nécessaires pour conduire notre communauté vers de nouveaux horizons…Je ne ménagerai pas ma peine pour faire prospérer son projet politique notre projet et je ne trouverai point de repos avant d'avoir placé cette candidature à la tête de ce pays pour devienne le cinquième président du Sénégal », lance Sémou Diouf.
Dans son discours, le président du conseil de surveillance de l’APROSI n’a pas manqué de tarir d’éloge à l’endroit du Président de la République Macky Sall pour ses 12 années à la tête notre pays
« L’homme Macky Sall possède les connaissances et les compétences nécessaires pour accomplir ses tâches avec efficacité. C'est une qualité précieuse car elle permet d'apporter une contribution significative dans tous les domaines de la vie, que ce soit sur le plan professionnel ou personnel. Il est pour moi cet homme exceptionnel qui a su transformer positivement le visage du Sénégal en l’espace de douze ans », poursuit-il
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