Le département de Saraya, dans la région de Kédougou, abrite désormais une nouvelle caserne du Groupe d’Action Rapide de Surveillance et d’Intervention (GARSI). L’infrastructure a été inaugurée ce lundi en présence du ministre des Forces armées, du Haut commandant de la Gendarmerie nationale et de la représentante de l’Union européenne au Sénégal.
Ce projet entre dans le cadre d’un partenariat stratégique entre l’État du Sénégal et l’Union européenne, destiné à renforcer la sécurité dans les zones frontalières du pays, notamment celles limitrophes du Mali et de la Guinée, régulièrement exposées à des trafics illicites, des violences transfrontalières et diverses menaces sécuritaires.
Une force mieux équipée et formée
La nouvelle caserne permettra de doter la Gendarmerie nationale d’un outil de réponse plus efficace, avec des unités formées, mobiles et proches des populations. L’objectif est double : lutter contre la criminalité organisée, mais aussi garantir le respect des droits humains dans l’ensemble des opérations menées.
Un projet à dimension citoyenne
En plus de son aspect sécuritaire, cette initiative porte une dimension communautaire forte. Elle vise à ancrer davantage les forces de défense et de sécurité dans le tissu local, en favorisant la collaboration avec les populations et en consolidant la présence de l’État dans les zones les plus reculées.
Pour les autorités présentes, cette nouvelle infrastructure marque un tournant dans la politique de stabilisation et de développement local, tout en renforçant la coopération entre le Sénégal et l’Union européenne.
Ce projet entre dans le cadre d’un partenariat stratégique entre l’État du Sénégal et l’Union européenne, destiné à renforcer la sécurité dans les zones frontalières du pays, notamment celles limitrophes du Mali et de la Guinée, régulièrement exposées à des trafics illicites, des violences transfrontalières et diverses menaces sécuritaires.
Une force mieux équipée et formée
La nouvelle caserne permettra de doter la Gendarmerie nationale d’un outil de réponse plus efficace, avec des unités formées, mobiles et proches des populations. L’objectif est double : lutter contre la criminalité organisée, mais aussi garantir le respect des droits humains dans l’ensemble des opérations menées.
Un projet à dimension citoyenne
En plus de son aspect sécuritaire, cette initiative porte une dimension communautaire forte. Elle vise à ancrer davantage les forces de défense et de sécurité dans le tissu local, en favorisant la collaboration avec les populations et en consolidant la présence de l’État dans les zones les plus reculées.
Pour les autorités présentes, cette nouvelle infrastructure marque un tournant dans la politique de stabilisation et de développement local, tout en renforçant la coopération entre le Sénégal et l’Union européenne.