Selon Gueum Sa Bopp, les propos du Premier ministre contre les magistrats, lors de l’affaire de diffamation qui l’oppose à Mame Mbaye Niang, marquent un tournant dangereux dans les relations entre l’exécutif et le pouvoir judiciaire. “Accuser publiquement les juges de corruption, c’est saboter les fondements de notre démocratie”, ont-ils déclaré, qualifiant l’attitude du chef du gouvernement de “posture belligérante”.
Une gouvernance en échec : dette, pauvreté et improvisation
Le mouvement s’alarme d’une gestion budgétaire jugée “irresponsable”. En 16 mois, la dette publique aurait atteint 10 200 milliards FCFA, contre 17 000 milliards sur 12 ans de gouvernance Macky Sall. “C’est la signature directe d’un amateurisme dangereux”, avertissent-ils.
Ils fustigent l’absence de résultats concrets dans les secteurs clés : Pas de bilan agricole 2024 publié Inflation sur les denrées alimentaires et crise du secteur BTP Retards dans la rationalisation des agences publiques Chute des investissements publics (2,64 milliards au T1 2025) Libertés menacées : “Tous les chemins mènent à Rebeuss”
Les Jambaars s’insurgent contre les convocations récentes de voix critiques, dont le chroniqueur Badara Gadiaga, pour avoir repris une expression jugée offensante. “Aujourd’hui au Sénégal, tous les chemins mènent à Rebeuss”, dénoncent-ils, en solidarité avec Bachir Fofana, Madiambal Diagne et d’autres figures poursuivies pour des délits d’opinion.
Face à ce qu’ils considèrent comme un recul démocratique préoccupant, Gueum Sa Bopp annonce une tournée diplomatique dès ce jeudi. Des délégations seront envoyées auprès des chancelleries à Dakar et d’organismes internationaux de défense des droits humains. Des démarches seront aussi entreprises à l’étranger, avec l’appui de la diaspora.
“Changer les hommes ne suffit pas, il faut changer les règles”
Les cadres concluent sur un appel au sursaut national : “Le peuple sénégalais ne mérite pas un régime sans boussole. Le slogan ‘Jub – Jubal – Jubanti’ doit commencer par ceux qui gouvernent.” Ils exhortent les dirigeants à rendre des comptes, à réformer en profondeur, et demandent la démission du Premier ministre, pour restaurer la confiance perdue.
Une gouvernance en échec : dette, pauvreté et improvisation
Le mouvement s’alarme d’une gestion budgétaire jugée “irresponsable”. En 16 mois, la dette publique aurait atteint 10 200 milliards FCFA, contre 17 000 milliards sur 12 ans de gouvernance Macky Sall. “C’est la signature directe d’un amateurisme dangereux”, avertissent-ils.
Ils fustigent l’absence de résultats concrets dans les secteurs clés : Pas de bilan agricole 2024 publié Inflation sur les denrées alimentaires et crise du secteur BTP Retards dans la rationalisation des agences publiques Chute des investissements publics (2,64 milliards au T1 2025) Libertés menacées : “Tous les chemins mènent à Rebeuss”
Les Jambaars s’insurgent contre les convocations récentes de voix critiques, dont le chroniqueur Badara Gadiaga, pour avoir repris une expression jugée offensante. “Aujourd’hui au Sénégal, tous les chemins mènent à Rebeuss”, dénoncent-ils, en solidarité avec Bachir Fofana, Madiambal Diagne et d’autres figures poursuivies pour des délits d’opinion.
Face à ce qu’ils considèrent comme un recul démocratique préoccupant, Gueum Sa Bopp annonce une tournée diplomatique dès ce jeudi. Des délégations seront envoyées auprès des chancelleries à Dakar et d’organismes internationaux de défense des droits humains. Des démarches seront aussi entreprises à l’étranger, avec l’appui de la diaspora.
“Changer les hommes ne suffit pas, il faut changer les règles”
Les cadres concluent sur un appel au sursaut national : “Le peuple sénégalais ne mérite pas un régime sans boussole. Le slogan ‘Jub – Jubal – Jubanti’ doit commencer par ceux qui gouvernent.” Ils exhortent les dirigeants à rendre des comptes, à réformer en profondeur, et demandent la démission du Premier ministre, pour restaurer la confiance perdue.