Khalifa et consorts risquent de se retrouver devant le Tribunal correctionnel pour être jugés des infractions d’escroquerie portant sur les deniers publics, détournement de deniers publics et association de malfaiteurs. C’est en tout cas le souhait du Parquet de Dakar, bloqué toutefois par la requête pour annulation de la procédure introduite par les avocats du maire de Dakar.
La Cour suprême va se pencher, ce jeudi 17 août, sur la demande en annulation de la procédure judiciaire introduite par les avocats de Khalifa Sall. C’est peut-être l’audience de la dernière chance pour le maire socialiste de Dakar.
La Cour suprême va statuer sur la demande en annulation de la procédure judiciaire, émise par les défenseurs de Khalifa Sall, placé sous mandat de dépôt pour de présumées malversations concernant la gestion de a caisse d’avance de la mairie de Dakar.
En effet, en plus de la demande de mise en liberté provisoire, Khalifa Sall avait fait une autre requête pour demander l’annulation pure et simple de la procédure judiciaire.
«Si la Cour suprême venait aussi à rejeter la requête, le procureur enverrait Khalifa Sall et consorts devant le tribunal correctionnel pour y être jugés dans les 15 jours qui suivent la décision», renseigne des sources de L’Observateur.
La Cour suprême va se pencher, ce jeudi 17 août, sur la demande en annulation de la procédure judiciaire introduite par les avocats de Khalifa Sall. C’est peut-être l’audience de la dernière chance pour le maire socialiste de Dakar.
La Cour suprême va statuer sur la demande en annulation de la procédure judiciaire, émise par les défenseurs de Khalifa Sall, placé sous mandat de dépôt pour de présumées malversations concernant la gestion de a caisse d’avance de la mairie de Dakar.
En effet, en plus de la demande de mise en liberté provisoire, Khalifa Sall avait fait une autre requête pour demander l’annulation pure et simple de la procédure judiciaire.
«Si la Cour suprême venait aussi à rejeter la requête, le procureur enverrait Khalifa Sall et consorts devant le tribunal correctionnel pour y être jugés dans les 15 jours qui suivent la décision», renseigne des sources de L’Observateur.
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