Le Conseil interministériel sur la préparation de la rentrée scolaire 2025-2026, présidé par Boubacar Camara, ministre Secrétaire général du Gouvernement, a acté une mesure historique : la suppression définitive du concours d’entrée en sixième. Une décision saluée par le Ministre de l’Éducation nationale, Moustapha Mamba Guirassy, qui y voit le début d’une nouvelle ère pour l’école sénégalaise. Une école tremplin, non plus un filtre Pour le ministre, cette réforme ne vise pas à abaisser le niveau scolaire, mais à repenser la logique du système éducatif. “L’enfant n’est pas une variable à éliminer, mais un potentiel à accompagner”, a-t-il affirmé. Cette vision s’inscrit dans la philosophie du NITHE (Nouvelle Initiative pour la Transformation Humaniste de l’Éducation), qui place l’élève au centre du dispositif et valorise son développement intégral, au-delà de la performance académique.
La réforme invite à une révision profonde des méthodes pédagogiques. Les faibles niveaux de lecture, de calcul et de compréhension observés chez de nombreux élèves soulignent l’urgence de renforcer la formation continue des enseignants. Comme le rappelait déjà le rapport mondial de l’UNESCO en 2005, “le maître est le facteur principal de la qualité éducative”. Un défi d’infrastructures et de ressources humaines L’ouverture universelle vers le collège nécessite un effort massif en infrastructures : construction de salles de classe, recrutement d’enseignants qualifiés, réduction des ratios élèves/salles, et dotation en matériels pédagogiques. Sans ces mesures, l’élargissement de l’accès pourrait se transformer en crise de la qualité.
Le Gouvernement prévoit des directives précises pour accompagner cette réforme : un Plan national d’amélioration des apprentissages fondamentaux, une réforme du curriculum, et la mise en œuvre d’évaluations standardisées nationales pour suivre les progrès des élèves. Une réforme audacieuse et humaniste Pour le MEN, cette suppression du concours d’entrée en sixième ne marque pas la fin d’un système, mais le début d’une transformation éducative courageuse. Une école où l’échec devient une invitation à réorienter et renforcer, et non une exclusion. Cette réforme est en phase avec la vision du Président Bassirou Diomaye Faye et la philosophie de transformation portée par Moustapha Mamba Guirassy.
Le Sénégal fait un pas décisif vers une éducation plus inclusive, plus humaine et plus équitable. La suppression du concours d’entrée en sixième est bien plus qu’une réforme administrative : c’est un changement de paradigme qui pourrait redéfinir l’avenir de l’école sénégalaise.
La réforme invite à une révision profonde des méthodes pédagogiques. Les faibles niveaux de lecture, de calcul et de compréhension observés chez de nombreux élèves soulignent l’urgence de renforcer la formation continue des enseignants. Comme le rappelait déjà le rapport mondial de l’UNESCO en 2005, “le maître est le facteur principal de la qualité éducative”. Un défi d’infrastructures et de ressources humaines L’ouverture universelle vers le collège nécessite un effort massif en infrastructures : construction de salles de classe, recrutement d’enseignants qualifiés, réduction des ratios élèves/salles, et dotation en matériels pédagogiques. Sans ces mesures, l’élargissement de l’accès pourrait se transformer en crise de la qualité.
Le Gouvernement prévoit des directives précises pour accompagner cette réforme : un Plan national d’amélioration des apprentissages fondamentaux, une réforme du curriculum, et la mise en œuvre d’évaluations standardisées nationales pour suivre les progrès des élèves. Une réforme audacieuse et humaniste Pour le MEN, cette suppression du concours d’entrée en sixième ne marque pas la fin d’un système, mais le début d’une transformation éducative courageuse. Une école où l’échec devient une invitation à réorienter et renforcer, et non une exclusion. Cette réforme est en phase avec la vision du Président Bassirou Diomaye Faye et la philosophie de transformation portée par Moustapha Mamba Guirassy.
Le Sénégal fait un pas décisif vers une éducation plus inclusive, plus humaine et plus équitable. La suppression du concours d’entrée en sixième est bien plus qu’une réforme administrative : c’est un changement de paradigme qui pourrait redéfinir l’avenir de l’école sénégalaise.