Invité à l’émission matinale de la RFM, le président forum du justiciable, Babacar Ba, déplore le communiqué du gouvernement suite à la libération de Amy Collé Dieng et Cie.
Selon lui, le gouvernement du Sénégal a fait preuve de maladresse. Il estime en effet, que l’Etat du Sénégal ne devait pas sortir un communiqué pour donner des précisions après la liberté provisoire octroyée à Amy Collé Dieng, Ouleye Mané et Penda Ba.
Pour Babacar Ba, malgré la liberté provisoire accordée à Amy Collé et Cie, l’affaire reste pendante devant la justice, donc.
« Le gouvernement du Sénégal n’avait pas à se prononcer sur l’affaire encore moins sortir un communiqué pour apporter des précisions », a-t-il déclaré.
A l’en croire, cela démontre une fois de plus, que le Pouvoir exécutif a une main mise sur le pouvoir judiciaire et que c’est le gouvernement qui décide de qui emprisonner ou relâcher. Ce qui n’est pas, selon lui, conforme à l’Etat de droit qui exige une séparation du pouvoir exécutif et judiciaire dans un pays de démocratie.
Dans le même sillage, Babacar Ba a indiqué que le procureur de la République est la personne habilitée à apporter des explications pour éclairer la lanterne des Sénégalais sur des affaires ayant trait à la justice et non le gouvernement qui doit être neutre dans ce domaine. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
Selon lui, le gouvernement du Sénégal a fait preuve de maladresse. Il estime en effet, que l’Etat du Sénégal ne devait pas sortir un communiqué pour donner des précisions après la liberté provisoire octroyée à Amy Collé Dieng, Ouleye Mané et Penda Ba.
Pour Babacar Ba, malgré la liberté provisoire accordée à Amy Collé et Cie, l’affaire reste pendante devant la justice, donc.
« Le gouvernement du Sénégal n’avait pas à se prononcer sur l’affaire encore moins sortir un communiqué pour apporter des précisions », a-t-il déclaré.
A l’en croire, cela démontre une fois de plus, que le Pouvoir exécutif a une main mise sur le pouvoir judiciaire et que c’est le gouvernement qui décide de qui emprisonner ou relâcher. Ce qui n’est pas, selon lui, conforme à l’Etat de droit qui exige une séparation du pouvoir exécutif et judiciaire dans un pays de démocratie.
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