Le leader du mouvement Tekki a annoncé, mardi, à Thiès, sa volonté d’instaurer le droit du sol au Sénégal. Mamadou Lamine Diallo estime que si la France n’en veut pas, le Sénégal qui «devra diriger l’Afrique de l’Ouest» a besoin d’une telle législation.
Pour cette question de nationalité, il annonce «qu’il y a trop d’apatrides (personnes sans nationalité) au Sénégal, et ce n’est pas normal». Le candidat à la présidentielle estime que cette situation doit changer, vu la vocation du pays à «être à la tête de l’Afrique de l’Ouest». Il a insisté sur le fait qu’il détient une seule nationalité, qui est celle sénégalaise.
«Quand j’étais à l’école polytechnique de Paris et même à la Banque mondiale aux Etats-Unis, je n’ai pas cherché une autre nationalité. En 2023, j’ai aussi fait ma déclaration fiscale», a-t-il dit.
Se présentant comme un panafricaniste, Mamadou Lamine Diallo veut que «le Sénégal, avec l’Afrique de l’Ouest, soit cité, dans 15 à 20 ans, parmi des puissances comme la Chine, l’Inde et la Turquie». Il s’adressait à ses militants au quartier Mbambara de Thiès, ville qu’il considère comme un «creuset de l’Afrique de l’Ouest».
Pour cette question de nationalité, il annonce «qu’il y a trop d’apatrides (personnes sans nationalité) au Sénégal, et ce n’est pas normal». Le candidat à la présidentielle estime que cette situation doit changer, vu la vocation du pays à «être à la tête de l’Afrique de l’Ouest». Il a insisté sur le fait qu’il détient une seule nationalité, qui est celle sénégalaise.
«Quand j’étais à l’école polytechnique de Paris et même à la Banque mondiale aux Etats-Unis, je n’ai pas cherché une autre nationalité. En 2023, j’ai aussi fait ma déclaration fiscale», a-t-il dit.
Se présentant comme un panafricaniste, Mamadou Lamine Diallo veut que «le Sénégal, avec l’Afrique de l’Ouest, soit cité, dans 15 à 20 ans, parmi des puissances comme la Chine, l’Inde et la Turquie». Il s’adressait à ses militants au quartier Mbambara de Thiès, ville qu’il considère comme un «creuset de l’Afrique de l’Ouest».