Quelques heures après le rejet de sa requête en rabat d’arrêt par la Cour suprême dans l’affaire de diffamation qui l’oppose à l’ancien ministre Mame Mbaye Niang, le Premier ministre Ousmane Sonko est monté au créneau. Dans une déclaration diffusée en direct sur ses réseaux sociaux, il a dénoncé une justice « instrumentalisée » et promis de rendre publics les rapports de l’Inspection générale des finances (IGF), qu’il estime être à décharge.
« Sur un mensonge, ma candidature a été écartée », a martelé Ousmane Sonko, annonçant qu’il a instruit ses avocats pour saisir à nouveau la justice sur la base de « faits nouveaux ». Il affirme que la décision de la Cour suprême « n’a aucune incidence sur [son] éligibilité » et réaffirme sa volonté de se présenter à de futures élections.
Mais le Premier ministre ne s’est pas contenté de revenir sur son dossier judiciaire. Il a annoncé un plan de redressement national, qu’il présentera dans les prochains jours. Ce programme, selon lui, sera « structuré, chiffré et adossé à une vision claire de la relance économique ». Il vise notamment à rétablir la stabilité financière, la transparence dans la gestion publique, et la confiance des citoyens et des partenaires internationaux.
« Sur un mensonge, ma candidature a été écartée », a martelé Ousmane Sonko, annonçant qu’il a instruit ses avocats pour saisir à nouveau la justice sur la base de « faits nouveaux ». Il affirme que la décision de la Cour suprême « n’a aucune incidence sur [son] éligibilité » et réaffirme sa volonté de se présenter à de futures élections.
Mais le Premier ministre ne s’est pas contenté de revenir sur son dossier judiciaire. Il a annoncé un plan de redressement national, qu’il présentera dans les prochains jours. Ce programme, selon lui, sera « structuré, chiffré et adossé à une vision claire de la relance économique ». Il vise notamment à rétablir la stabilité financière, la transparence dans la gestion publique, et la confiance des citoyens et des partenaires internationaux.