"Nous considérons que l’émergence des candidats forts et bien ancrés dans l’opposition est une bonne chose pour la démocratie sénégalaise. En gros, nous pensons que Ousmane Sonko est une bonne nouvelle pour la démocratie sénégalaise. Il nous en faut d’autres d’ailleurs", a-t-il déclaré dans les colonnes de l'Observateur.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); A ses yeux, si l’opposition a en son sein une pluralité de candidats pouvant récolter chacun au moins 10% des voix, le Sénégal aura un nouveau président de la République au soir du 24 octobre 2019.
"Pour terrasser le candidat Macky Sall à la prochaine élection présidentielle, tous les partis ayant au moins un grenier électoral sont les bienvenus au sein de l’opposition sénégalaise. Et si ces candidats pèsent réellement lourd dans le landerneau politique, ils serviront à amener Macky Sall au second tour. Et à ce moment, ceux qui ne sont pas passés vont s’aligner derrière, lui garantissant une victoire à l’issue de ce second vote. ", a ajouté M. Diouf.
A l’en croire, si l’opposition a en son sein une pluralité de candidats pouvant récolter chacun au moins 10% des voix, le Sénégal aura un nouveau président de la République au soir du 24 octobre 2019.