Quelques modestes observations au capitaine Dièye

TRIBUNE LIBRE
Mardi 5 Juin 2018

«Quand, ils m’ont arrêté, ils m’ont conduit à Bargny. Et personne d’entre eux n’a été capable de me dire ce qu’ils me reprochent. Je leur ai dit que s’ils ne me libéraient pas dans les deux semaines, on allait foutre en l’air ce pays».