Depuis plusieurs semaines, l’Entente SYTJUST-UNTJ maintient sa grève, dénonçant le refus du ministère de la Fonction publique de répondre à leur doléance principale : le reclassement des agents. Cette situation affecte gravement les usagers du service public, notamment les prévenus en attente de jugement, victimes collatérales du blocage.
Des engagements non tenus depuis 2018
Les syndicats rappellent que :
Le Conseil des ministres du 25 juillet 2018 avait validé les engagements relatifs au reclassement Ces engagements n’ont jamais été appliqués Une substitution frauduleuse des projets de décrets aurait été opérée Le blocage administratif persistant du ministère est pointé du doigt Les grévistes soulignent que plusieurs corps de la Fonction publique ont été reclassés sans formation complémentaire, ce qui renforce la légitimité de leur demande. Ils exigent :
L’ouverture immédiate de négociations de haut niveau La participation du Premier ministre, du ministre de la Fonction publique, du ministre des Finances et du Budget, et du ministre de la Justice Malgré les préavis déposés les 7 et 15 février 2025, aucune avancée significative n’a été enregistrée. Le silence des autorités face à cette crise sociale suscite l’incompréhension et la colère des citoyens.
La régularisation du reclassement dans la Fonction publique est devenue un enjeu majeur pour la stabilité sociale et le bon fonctionnement de la justice au Sénégal. Une solution concertée et équitable est attendue pour mettre fin à une grève qui pénalise les plus vulnérables.
Des engagements non tenus depuis 2018
Les syndicats rappellent que :
Le Conseil des ministres du 25 juillet 2018 avait validé les engagements relatifs au reclassement Ces engagements n’ont jamais été appliqués Une substitution frauduleuse des projets de décrets aurait été opérée Le blocage administratif persistant du ministère est pointé du doigt Les grévistes soulignent que plusieurs corps de la Fonction publique ont été reclassés sans formation complémentaire, ce qui renforce la légitimité de leur demande. Ils exigent :
L’ouverture immédiate de négociations de haut niveau La participation du Premier ministre, du ministre de la Fonction publique, du ministre des Finances et du Budget, et du ministre de la Justice Malgré les préavis déposés les 7 et 15 février 2025, aucune avancée significative n’a été enregistrée. Le silence des autorités face à cette crise sociale suscite l’incompréhension et la colère des citoyens.
La régularisation du reclassement dans la Fonction publique est devenue un enjeu majeur pour la stabilité sociale et le bon fonctionnement de la justice au Sénégal. Une solution concertée et équitable est attendue pour mettre fin à une grève qui pénalise les plus vulnérables.