Le rappeur et activiste sénégalais Thiat, membre du célèbre groupe Keur-Gui et figure emblématique du mouvement Y’en a marre, revient sur le devant de la scène avec un nouveau titre explosif : “Porozé Bi”. Ce morceau, devenu viral sur les réseaux sociaux, s’attaque frontalement au régime PASTEF et à son leader Ousmane Sonko, dans un style incisif et sans concession.
Dans “Porozé Bi”, Thiat critique les promesses non tenues, les atteintes aux libertés publiques, l’arrogance de certains ministres, et la gestion économique qu’il qualifie de “4e sous-sol”. Il interpelle directement : “54% pour ça ?”, remettant en question la légitimité du pouvoir en place. Le morceau évoque également les tensions autour des appels à candidature, les dépenses jugées excessives (véhicules de députés, jet privé), et les difficultés du secteur BTP.
Depuis les années 2000, le groupe Keur-Gui s’est illustré par son engagement politique à travers des albums comme “1ère mi-temps”, “Liye Raam”, “Nos connes doléances”, ou encore “Coup de gueule”. Le duo Thiat et Kilifeu n’a jamais hésité à dénoncer les abus des différents régimes, du Parti Socialiste à Macky Sall, en passant aujourd’hui par PASTEF.
Le clip de “Porozé Bi” a rapidement atteint des centaines de milliers de vues sur YouTube, devenant un hymne dans les manifestations de l’opposition. Ce succès rappelle celui de titres précédents comme “Diogoufi” ou “Saï saï au cœur”, qui avaient déjà marqué les esprits et les réseaux sociaux.
Figure incontournable des luttes sociales et politiques au Sénégal, Thiat continue de porter la voix des jeunes et des citoyens engagés. Son dernier opus s’inscrit dans une tradition de rap conscient, mêlant critique sociale, engagement politique et appel à la responsabilité.
Dans “Porozé Bi”, Thiat critique les promesses non tenues, les atteintes aux libertés publiques, l’arrogance de certains ministres, et la gestion économique qu’il qualifie de “4e sous-sol”. Il interpelle directement : “54% pour ça ?”, remettant en question la légitimité du pouvoir en place. Le morceau évoque également les tensions autour des appels à candidature, les dépenses jugées excessives (véhicules de députés, jet privé), et les difficultés du secteur BTP.
Depuis les années 2000, le groupe Keur-Gui s’est illustré par son engagement politique à travers des albums comme “1ère mi-temps”, “Liye Raam”, “Nos connes doléances”, ou encore “Coup de gueule”. Le duo Thiat et Kilifeu n’a jamais hésité à dénoncer les abus des différents régimes, du Parti Socialiste à Macky Sall, en passant aujourd’hui par PASTEF.
Le clip de “Porozé Bi” a rapidement atteint des centaines de milliers de vues sur YouTube, devenant un hymne dans les manifestations de l’opposition. Ce succès rappelle celui de titres précédents comme “Diogoufi” ou “Saï saï au cœur”, qui avaient déjà marqué les esprits et les réseaux sociaux.
Figure incontournable des luttes sociales et politiques au Sénégal, Thiat continue de porter la voix des jeunes et des citoyens engagés. Son dernier opus s’inscrit dans une tradition de rap conscient, mêlant critique sociale, engagement politique et appel à la responsabilité.