Un fait impasse des poches de pauvreté qui existeraient encore au Sénégal. Le focus fait par le quotidien dont le propriétaire est un ministre conseiller, ne plaira certainement pas au pouvoir.
C’est assez pour un pays qui aspire à l’émergence et dont la population est considérée comme pauvre. Une réalité qui froisse le regard de nos autorités. Chez elles, le mot qui fâche, c’est justement la pauvreté. Ça, c’est quand des institutions internationales s’en mêlent.
L’une d’elles vient d’ailleurs de leur recommander de mettre à la poubelle leur fumeux système de parrainage citoyen qui n’a été qu’un piège pour se tracer un boulevard vers un second mandat. Puisque le piège a merveilleusement fonctionné, elles (nos autorités) pourront certainement le jeter aux ordures. Pour l’honneur du frère du Chef, ils sont tous en train de s’aplatir.
A chaque jour son mouvement de soutien. Les plus de 20. 000 signataires de la pétition qui lui demandent de rendre le tablier de son juteux fauteuil ? Des hâbleurs, des jaloux, des sicaires qui crient avec les loups. Les défenseurs du frère du Chef restent convaincus que rien de ce que l’on reproche au gentil et débonnaire Aliou n’est vrai. Rien que du vent ! Plutôt alors arrêter ces auditions à la Dic qui doit avoir des choses plus sérieuses à faire que de voir défiler dans ses locaux des politiciens et autres activistes en diable.
Et quoi encore au chapitre de la diversion ? Le Chef qui s’en va tranquillement visiter son chantier qu’il a déjà inauguré...il y a cinq mois. C’est à n’y rien comprendre... C’est en tout cas du cynisme qui ne dit pas son nom après nous avoir fait croire que l’engin circulerait dans six mois, c’est-à- dire en ce mois de juillet. Tant pis pour ceux qui ont cru aux promesses d’un candidat en campagne électorale. Bien joué !
Le Témoin
C’est assez pour un pays qui aspire à l’émergence et dont la population est considérée comme pauvre. Une réalité qui froisse le regard de nos autorités. Chez elles, le mot qui fâche, c’est justement la pauvreté. Ça, c’est quand des institutions internationales s’en mêlent.
L’une d’elles vient d’ailleurs de leur recommander de mettre à la poubelle leur fumeux système de parrainage citoyen qui n’a été qu’un piège pour se tracer un boulevard vers un second mandat. Puisque le piège a merveilleusement fonctionné, elles (nos autorités) pourront certainement le jeter aux ordures. Pour l’honneur du frère du Chef, ils sont tous en train de s’aplatir.
A chaque jour son mouvement de soutien. Les plus de 20. 000 signataires de la pétition qui lui demandent de rendre le tablier de son juteux fauteuil ? Des hâbleurs, des jaloux, des sicaires qui crient avec les loups. Les défenseurs du frère du Chef restent convaincus que rien de ce que l’on reproche au gentil et débonnaire Aliou n’est vrai. Rien que du vent ! Plutôt alors arrêter ces auditions à la Dic qui doit avoir des choses plus sérieuses à faire que de voir défiler dans ses locaux des politiciens et autres activistes en diable.
Et quoi encore au chapitre de la diversion ? Le Chef qui s’en va tranquillement visiter son chantier qu’il a déjà inauguré...il y a cinq mois. C’est à n’y rien comprendre... C’est en tout cas du cynisme qui ne dit pas son nom après nous avoir fait croire que l’engin circulerait dans six mois, c’est-à- dire en ce mois de juillet. Tant pis pour ceux qui ont cru aux promesses d’un candidat en campagne électorale. Bien joué !
Le Témoin