Le Cadre Permanent de Concertation des Prestataires du Transfert d’Argent (CPCP) exprime ses vives inquiétudes face aux nouvelles mesures fiscales appliquées au mobile money. Dans un communiqué en date du 17 septembre 2025, l’organisation appelle l’État du Sénégal à réexaminer la taxe, redoutant de graves perturbations dans le secteur du transfert d’argent.
Un écosystème fragile menacé
Selon le CPCP, la taxe projetée risque de « déséquilibrer un écosystème fragile » et de provoquer des perturbations majeures. Le secteur du mobile money, qui a contribué à faire du Sénégal un modèle d’inclusion financière en Afrique de l’Ouest, pourrait voir ses acquis remis en cause après plus de dix ans d’efforts pour élargir l’accès des citoyens aux services financiers.
L’inclusion financière en danger
Le communiqué souligne que cette avancée, ayant permis à des millions de Sénégalais d’accéder aux services financiers, est désormais « menacée par une taxation excessive ». Une telle mesure, selon le CPCP, risquerait de décourager les usagers et de fragiliser les acteurs de terrain, compromettant ainsi la dynamique d’inclusion financière qui a transformé le paysage économique et social du pays.
Le CPCP insiste sur la nécessité d’une démarche inclusive et concertée impliquant toutes les parties prenantes : l’État, les prestataires, les opérateurs et les représentants des consommateurs. L’organisation plaide pour l’ouverture d’un cadre de dialogue urgent, afin de définir des solutions équilibrées, durables et bénéfiques pour l’ensemble des acteurs du secteur.
Enfin, le CPCP appelle à éviter des conséquences « désastreuses » sur l’économie numérique et sociale. Il invite toutes les parties à se réunir dans un esprit de responsabilité partagée et de préservation de l’intérêt national.
Un écosystème fragile menacé
Selon le CPCP, la taxe projetée risque de « déséquilibrer un écosystème fragile » et de provoquer des perturbations majeures. Le secteur du mobile money, qui a contribué à faire du Sénégal un modèle d’inclusion financière en Afrique de l’Ouest, pourrait voir ses acquis remis en cause après plus de dix ans d’efforts pour élargir l’accès des citoyens aux services financiers.
L’inclusion financière en danger
Le communiqué souligne que cette avancée, ayant permis à des millions de Sénégalais d’accéder aux services financiers, est désormais « menacée par une taxation excessive ». Une telle mesure, selon le CPCP, risquerait de décourager les usagers et de fragiliser les acteurs de terrain, compromettant ainsi la dynamique d’inclusion financière qui a transformé le paysage économique et social du pays.
Le CPCP insiste sur la nécessité d’une démarche inclusive et concertée impliquant toutes les parties prenantes : l’État, les prestataires, les opérateurs et les représentants des consommateurs. L’organisation plaide pour l’ouverture d’un cadre de dialogue urgent, afin de définir des solutions équilibrées, durables et bénéfiques pour l’ensemble des acteurs du secteur.
Enfin, le CPCP appelle à éviter des conséquences « désastreuses » sur l’économie numérique et sociale. Il invite toutes les parties à se réunir dans un esprit de responsabilité partagée et de préservation de l’intérêt national.