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Aliou Sall : "Il a fallu que j’éternue, pour que le pays frôle le cataclysme"

POLITIQUE
Lundi 8 Mai 2017

En dépit des injonctions du président de l'APR, Aliou Sall continue son bras de fer avec la direction de son Parti. En effet, alors que le chef de l’Etat, dont il est le frangin, lui a demandé de retirer sa candidature pour les Législatives du 30 juillet, le maire de Guédiawaye, même revenu à la raison, trouve encore les ressources nécessaires pour se défouler sur les faucons du Palais.


Soutenu par les populations de l’Alliance pour la République (APR) de Guédiawaye, Aliou Sall a déclaré, ce week-end, au cours d’un meeting, que ses détracteurs au Palais n’ont qu’à se tenir à carreaux, parce que s’il parle, le monde s’effondre. Aliou Sall  clame haut et fort que «ceux qui s’agitent ne signifient absolument rien devant lui».

«Je ne suis pas leur alter ego. Ils ne sont pas audacieux. Si je parle, le ciel va leur tomber sur la tête», a-t-il nargué.

«Victime d’injures infondées depuis 2012», Aliou Sall dit que trop, c’en est trop. Mais devant des gens qui manquent de courage, il mesure, à présent, la portée de son message.
«Il a fallu que je m’éternue, pour que le pays frôle le cataclysme», a conclu Aliou Sall, tout en bandant les muscles.
 


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