Le Sénégal a enregistré une baisse de la pression fiscale de 4% du moins. Présidant samedi la 14e assemblée générale de l’amicale des inspecteurs des impôts et domaines, Cheikh Ahmed Tidiane BA a révélé que la pression fiscale a baissé de 20% à 16% à cause en partie du non paiement d’impôts des populations. il a souligné aussi la nécessité de mettre à niveau les inspecteurs afin que les recettes fiscales du pétrole n’échappent pas à l’etat.
Le Directeur général des Impôts et Domaines a profité de la 14e assemblée générale de l’Amicale des inspecteurs des impôts et domaines pour évoquer la pression fiscale. «Le pays connaît une baisse fiscale de 4%. Cela est lié au fait que les citoyens ne paient pas régulièrement l’impôt», a révélé le Directeur général des Impôts et Domaines, Cheikh Ahmed Tidiane Bâ qui présidait ladite assemblée. C’est dans ce sillage qu’il exhorte les inspecteurs des impôts et domaines à sensibiliser davantage les citoyens afin de soutenir les efforts de l’Etat. D’ailleurs, explique-t-il, c’est la principale cause de la réforme des structures fiscales. «Nous avons créé des centres de services fiscaux qui vont mettre le focus sur l’élargissement de l’assiette fiscale », renseigne M. Bâ. L’autre point important de la réforme, poursuit-il, est lié à la découverte du pétrole qui sera une autre source de fiscalité. «Nous pensons que nous serons capables de tirer le maximum sur cette manne pétrolière dans les intérêts de nos populations», déclare le Directeur des Impôts et Domaines.
Seulement, dira-t-il, cela nécessite une connaissance plus large et plus fine de la part des inspecteurs du secteur pour faire face aux multinationales qui sont expertes en matière de contournements ou de fraude fiscale. Pour Cheikh Ahmed Tidiane Bâ, l’Etat doit plus compter sur les impôts des populations et faire du pétrole un plus des recettes fiscales. «L’Etat doit compter sur sa propre population pour couvrir ses dépenses», dit-il.
Embouchant la même trompette, la présidente sortante de l’amicale, Ndèye Aïssatou Ndao affirme : «cette découverte du pétrole est une aubaine sur le plan fiscal, mais nécessite avant tout une bonne formation des inspecteurs. Notre assiette fiscale avant la découverte du pétrole était constituée des impôts collectés auprès des personnes morales et des personnes physiques. Cette donne va changer, il faut donc, éviter d’avoir une fiscalité déséquilibrée».
Le Directeur général des Impôts et Domaines a profité de la 14e assemblée générale de l’Amicale des inspecteurs des impôts et domaines pour évoquer la pression fiscale. «Le pays connaît une baisse fiscale de 4%. Cela est lié au fait que les citoyens ne paient pas régulièrement l’impôt», a révélé le Directeur général des Impôts et Domaines, Cheikh Ahmed Tidiane Bâ qui présidait ladite assemblée. C’est dans ce sillage qu’il exhorte les inspecteurs des impôts et domaines à sensibiliser davantage les citoyens afin de soutenir les efforts de l’Etat. D’ailleurs, explique-t-il, c’est la principale cause de la réforme des structures fiscales. «Nous avons créé des centres de services fiscaux qui vont mettre le focus sur l’élargissement de l’assiette fiscale », renseigne M. Bâ. L’autre point important de la réforme, poursuit-il, est lié à la découverte du pétrole qui sera une autre source de fiscalité. «Nous pensons que nous serons capables de tirer le maximum sur cette manne pétrolière dans les intérêts de nos populations», déclare le Directeur des Impôts et Domaines.
Seulement, dira-t-il, cela nécessite une connaissance plus large et plus fine de la part des inspecteurs du secteur pour faire face aux multinationales qui sont expertes en matière de contournements ou de fraude fiscale. Pour Cheikh Ahmed Tidiane Bâ, l’Etat doit plus compter sur les impôts des populations et faire du pétrole un plus des recettes fiscales. «L’Etat doit compter sur sa propre population pour couvrir ses dépenses», dit-il.
Embouchant la même trompette, la présidente sortante de l’amicale, Ndèye Aïssatou Ndao affirme : «cette découverte du pétrole est une aubaine sur le plan fiscal, mais nécessite avant tout une bonne formation des inspecteurs. Notre assiette fiscale avant la découverte du pétrole était constituée des impôts collectés auprès des personnes morales et des personnes physiques. Cette donne va changer, il faut donc, éviter d’avoir une fiscalité déséquilibrée».
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