Point de salut pour le Sénégal sans une véritable démocratie. On ne peut pas manquer de flétrir la politique d’hostilité de Macky à l’égard de ses opposants, sans caractériser la mal-gouvernance financière et institutionnelle de son régime. Un régime au service d’une famille, d’un parti et non de la patrie. C’est une véritable autocratie dont l’objectif fondamental est de liquider, sous l’influence on ne sait de quel tropisme obscur, ses adversaires politiques.
Par la répression, par la terreur, par la délation, par la manipulation, par le travestissement de l’histoire, le clan du président Macky a compromis l’indépendance de la Justice, fait main basse sur tous les leviers de l’Etat. En promouvant une certaine oligarchie, en privilégiant la famille au grand dam de la République qui, par essence, transcende les contingences partisanes et met sur le même pied opposants et gérants du pouvoir, le président Sall a tourné le dos à ses idéaux d’homme politique épris de justice et d’équité entre tous les citoyens du Sénégal.
Aujourd’hui, le président Macky Sall mène l’un de ses plus grands combats politiques dont l’objectif avoué est l'élimination de Khalifa Ababacar Sall anéantissant ses ambitions politiques. Dans sa quête éperdue de deuxième mandat, il fait feu de tout bois. Il a nourri la haine entre les Sénégalais, mis à genou la Justice, assujetti les institutions.
Son obstination à vouloir à tout prix anéantir l’opposition met à nu les limites de l'homme d'État. Par ailleurs, tous les faits marquants de son règne montrent et démontrent que face à l’idéologie qui fonde sa politique, il faut impérativement revivre la révolution de la rue.
La jeunesse se doit d’assumer avec fermeté sa responsabilité en luttant contre ces pratiques antirépublicaines et ce, en ripostant radicalement. Elle se doit d’apporter un soutien massif, déterminé, sans complexe et sans concession à la lutte pour le renforcement de la démocratie et la promotion des droits de l’homme au Sénégal.
Ainsi la seule bataille qui vaille est celle de la démocratie et de la restauration des valeurs de la République. Avec le président Macky, ces valeurs ont disparu dans la construction de notre citoyenneté. Jamais le pays n’a été aussi divisé. Et le président Sall porte à jamais, devant l’Histoire, la responsabilité d’avoir distillé la haine et la discorde entre les fils et filles de ce pays, non seulement au sein de son propre parti, mais au sein de l’ensemble des populations du Sénégal.
DAOUDA LORD THIAM
COORDINATEUR NATIONAL DES ÉLÈVES ET ÉTUDIANTS DE L'INITIATIVE 2017
Par la répression, par la terreur, par la délation, par la manipulation, par le travestissement de l’histoire, le clan du président Macky a compromis l’indépendance de la Justice, fait main basse sur tous les leviers de l’Etat. En promouvant une certaine oligarchie, en privilégiant la famille au grand dam de la République qui, par essence, transcende les contingences partisanes et met sur le même pied opposants et gérants du pouvoir, le président Sall a tourné le dos à ses idéaux d’homme politique épris de justice et d’équité entre tous les citoyens du Sénégal.
Aujourd’hui, le président Macky Sall mène l’un de ses plus grands combats politiques dont l’objectif avoué est l'élimination de Khalifa Ababacar Sall anéantissant ses ambitions politiques. Dans sa quête éperdue de deuxième mandat, il fait feu de tout bois. Il a nourri la haine entre les Sénégalais, mis à genou la Justice, assujetti les institutions.
Son obstination à vouloir à tout prix anéantir l’opposition met à nu les limites de l'homme d'État. Par ailleurs, tous les faits marquants de son règne montrent et démontrent que face à l’idéologie qui fonde sa politique, il faut impérativement revivre la révolution de la rue.
La jeunesse se doit d’assumer avec fermeté sa responsabilité en luttant contre ces pratiques antirépublicaines et ce, en ripostant radicalement. Elle se doit d’apporter un soutien massif, déterminé, sans complexe et sans concession à la lutte pour le renforcement de la démocratie et la promotion des droits de l’homme au Sénégal.
Ainsi la seule bataille qui vaille est celle de la démocratie et de la restauration des valeurs de la République. Avec le président Macky, ces valeurs ont disparu dans la construction de notre citoyenneté. Jamais le pays n’a été aussi divisé. Et le président Sall porte à jamais, devant l’Histoire, la responsabilité d’avoir distillé la haine et la discorde entre les fils et filles de ce pays, non seulement au sein de son propre parti, mais au sein de l’ensemble des populations du Sénégal.
DAOUDA LORD THIAM
COORDINATEUR NATIONAL DES ÉLÈVES ET ÉTUDIANTS DE L'INITIATIVE 2017
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