Alors que la Société des Mines du Sénégal (SOMISEN SA) a annoncé une performance historique pour l’exercice 2025, avec 41,425 milliards de FCFA de dividendes versés à l’État, l’ancien ministre des Mines et de la Géologie, Oumar Sarr, a tenu à apporter des précisions sur l’origine de ces résultats.
Une performance saluée par la SOMISEN
Le Directeur Général de la SOMISEN, Me Ngagne Demba Touré, a présenté ces chiffres comme le fruit d’une gouvernance renforcée et d’une gestion stratégique des participations de l’État dans le secteur minier. Il a souligné que l’État joue désormais un rôle actif dans les conseils d’administration, influençant directement les décisions clés, notamment la distribution des dividendes.
En plus des dividendes, près de 30 milliards de FCFA ont été collectés via l’Impôt sur le Revenu des Valeurs Mobilières (IRVM), portant les recettes minières totales à environ 70 milliards de FCFA pour l’année 2025.
Oumar Sarr : « Ce n’est pas un miracle, mais une évolution normale »
Invité de l’émission Ultime Conviction, Oumar Sarr a tenu à modérer l’enthousiasme suscité par ces chiffres. Selon lui, cette hausse spectaculaire ne découle pas d’un changement de gouvernance récent, mais plutôt d’une progression naturelle liée aux investissements réalisés sous son mandat.
« Quand les entreprises investissent, il faut des années avant que les bénéfices ne se voient. C’est donc une situation normale », a-t-il déclaré.
L’ancien ministre a rappelé que plusieurs projets structurants ont été lancés entre 2020 et 2024, notamment dans le cadre du projet intégré de fer de Falémé et de l’exploitation du zircon. Il a également mentionné la loi sur le contenu local adoptée en 2022, qui a renforcé la participation nationale dans la chaîne de valeur minière.
Cette guerre d’interprétation politique autour des performances économiques du secteur extractif continue. Tandis que la nouvelle direction de la SOMISEN met en avant une gouvernance proactive, Oumar Sarr insiste sur la continuité des politiques publiques et les effets différés des investissements passés.
Une performance saluée par la SOMISEN
Le Directeur Général de la SOMISEN, Me Ngagne Demba Touré, a présenté ces chiffres comme le fruit d’une gouvernance renforcée et d’une gestion stratégique des participations de l’État dans le secteur minier. Il a souligné que l’État joue désormais un rôle actif dans les conseils d’administration, influençant directement les décisions clés, notamment la distribution des dividendes.
En plus des dividendes, près de 30 milliards de FCFA ont été collectés via l’Impôt sur le Revenu des Valeurs Mobilières (IRVM), portant les recettes minières totales à environ 70 milliards de FCFA pour l’année 2025.
Oumar Sarr : « Ce n’est pas un miracle, mais une évolution normale »
Invité de l’émission Ultime Conviction, Oumar Sarr a tenu à modérer l’enthousiasme suscité par ces chiffres. Selon lui, cette hausse spectaculaire ne découle pas d’un changement de gouvernance récent, mais plutôt d’une progression naturelle liée aux investissements réalisés sous son mandat.
« Quand les entreprises investissent, il faut des années avant que les bénéfices ne se voient. C’est donc une situation normale », a-t-il déclaré.
L’ancien ministre a rappelé que plusieurs projets structurants ont été lancés entre 2020 et 2024, notamment dans le cadre du projet intégré de fer de Falémé et de l’exploitation du zircon. Il a également mentionné la loi sur le contenu local adoptée en 2022, qui a renforcé la participation nationale dans la chaîne de valeur minière.
Cette guerre d’interprétation politique autour des performances économiques du secteur extractif continue. Tandis que la nouvelle direction de la SOMISEN met en avant une gouvernance proactive, Oumar Sarr insiste sur la continuité des politiques publiques et les effets différés des investissements passés.
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