A l'occasion d’une conférence qu'il animait sur le thème : le statut juridique de l’exploitation des hydrocarbures au Sénégal, l’ancien inspecteur des impôts et domaines, Ousmane Sonko, a fait savoir que l’urgence pour mieux bénéficier des retombés économiques c’est de reformer le code pétrolier qui date de 1998.
« Nous avons voté un code pétrolier de 1998 qui était venu et abrogé un autre de 1986. Nous l’avons voté dans un contexte ou l’option des autorités publiques c’était d’avoir un cadre incitatif pour attirer les investisseurs puis qu’on n’avait pas encore découvert du pétrole au Sénégal. Ce dispositif n’est pas très favorable au pays parce qu’il a tendance à accorder des dérogations en matière fiscale et en matière de droit de douane et en législation du travail », précise le leader du parti Pastef.
Fort de ce constat, Sonko renchérit : « C’est pourquoi aujourd’hui, nous considérons maintenant que du pétrole et du gaz ont été trouvés au Sénégal, l’urgence devait être de marquer un coup d’arrêt, de reformer un peu le code et son décret d’application avant d’attribuer les autres blocs pétrolier ».
« Nous avons voté un code pétrolier de 1998 qui était venu et abrogé un autre de 1986. Nous l’avons voté dans un contexte ou l’option des autorités publiques c’était d’avoir un cadre incitatif pour attirer les investisseurs puis qu’on n’avait pas encore découvert du pétrole au Sénégal. Ce dispositif n’est pas très favorable au pays parce qu’il a tendance à accorder des dérogations en matière fiscale et en matière de droit de douane et en législation du travail », précise le leader du parti Pastef.
Fort de ce constat, Sonko renchérit : « C’est pourquoi aujourd’hui, nous considérons maintenant que du pétrole et du gaz ont été trouvés au Sénégal, l’urgence devait être de marquer un coup d’arrêt, de reformer un peu le code et son décret d’application avant d’attribuer les autres blocs pétrolier ».
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