Khalifa Ababacar Sall occupe le devant de la scène. Il demeure pour le moment le candidat le plus visible, à travers ses caravanes et le plus médiatiquement présent.
En vérité, la position Khalifa Ababacar Sall comme l’un des principaux favoris de la prochaine présidentielle hante des sommeils.
Dans la réalité, Khalifa Sall demeure l’unique recours de tous les citoyens sénégalais, en quête de normalité. Sa stature d'homme d'Etat fait de lui le candidat idéal, pour mettre fin aux meurtrissures notées ces dernières années, dans le tissu de notre vivre ensemble.
Il n'y a qu’à voir le parcours des différents candidats. Khalifa Sall est celui qui maîtrise le mieux le Sénégal, la grandeur de son histoire, le génie de son peuple et de ses bâtisseurs. Il saura, sans doute, réconcilier les sénégalais.
L’illusion du triomphe qui berce certains ultra fanatiques risque de les précipiter, dans les abîmes de la déception. L’avenir proche nous édifiera. La gestion d’un pays est trop importante pour ne point être confié à des mains inexpertes *d’un president sous coaching*. L’aventure n’est pas permise.
Personnellement, Khalifa Sall s’est attiré mon respect. Je ne suis point son affidé prêt à le suivre dans *tous ses choix*. Il est monté dans mon estime que par sa capacité à combattre, dans la dignité et la persévérance. Khalifa Ababacar Sall a été isolé par sa famille politique naturelle le Parti Socialiste (PS), des camarades de longue date. Il a été combattu par une machine d’une super puissance pour, « délit d’ambition politique ».
Ses plus proches collaborateurs ont été injustement jetés, dans les geôles. Rappelons-nous, ce serait trop facile de vouloir tout effacer, dans la conscience collective, après tant d’épreuves subies. Ce même Khalifa Sall a créé de toutes pièces, le Yewwi Askan Wi, avant de se faire trahir par des politiques obnubilés, par leurs ambitions uniques.
L’oubli se justifie peut- être par le fait que Khalifa Sall ne s’apitoie jamais sur son sort. Il ne se plaint pas et trouve toujours des ressorts, dans la persévérance, pour aller de l’avant. Le chef de l’Etat devra faire amende honorable et organiser dans les meilleurs délais des élections libres, inclusives et transparentes. Que le meilleur gagne.
Bara Diouf
En vérité, la position Khalifa Ababacar Sall comme l’un des principaux favoris de la prochaine présidentielle hante des sommeils.
Dans la réalité, Khalifa Sall demeure l’unique recours de tous les citoyens sénégalais, en quête de normalité. Sa stature d'homme d'Etat fait de lui le candidat idéal, pour mettre fin aux meurtrissures notées ces dernières années, dans le tissu de notre vivre ensemble.
Il n'y a qu’à voir le parcours des différents candidats. Khalifa Sall est celui qui maîtrise le mieux le Sénégal, la grandeur de son histoire, le génie de son peuple et de ses bâtisseurs. Il saura, sans doute, réconcilier les sénégalais.
L’illusion du triomphe qui berce certains ultra fanatiques risque de les précipiter, dans les abîmes de la déception. L’avenir proche nous édifiera. La gestion d’un pays est trop importante pour ne point être confié à des mains inexpertes *d’un president sous coaching*. L’aventure n’est pas permise.
Personnellement, Khalifa Sall s’est attiré mon respect. Je ne suis point son affidé prêt à le suivre dans *tous ses choix*. Il est monté dans mon estime que par sa capacité à combattre, dans la dignité et la persévérance. Khalifa Ababacar Sall a été isolé par sa famille politique naturelle le Parti Socialiste (PS), des camarades de longue date. Il a été combattu par une machine d’une super puissance pour, « délit d’ambition politique ».
Ses plus proches collaborateurs ont été injustement jetés, dans les geôles. Rappelons-nous, ce serait trop facile de vouloir tout effacer, dans la conscience collective, après tant d’épreuves subies. Ce même Khalifa Sall a créé de toutes pièces, le Yewwi Askan Wi, avant de se faire trahir par des politiques obnubilés, par leurs ambitions uniques.
L’oubli se justifie peut- être par le fait que Khalifa Sall ne s’apitoie jamais sur son sort. Il ne se plaint pas et trouve toujours des ressorts, dans la persévérance, pour aller de l’avant. Le chef de l’Etat devra faire amende honorable et organiser dans les meilleurs délais des élections libres, inclusives et transparentes. Que le meilleur gagne.
Bara Diouf
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