Par Dr Souleymane Lo
La noirceur d'ébène encore est tombée des nues en apprenant à la dernière minute et par la presse qu'elle ne figure plus sur la liste des potentiels prochains députés tellement on la supposait devenir la première présidente de la 13e législature.
Longtemps sujette à l'humiliation de cette façon la plus intense, voire la plus radicale malgré le refus de l'admettre qui l'anime, Mimi est prise dans un engrenage de dévalorisation méprisante mettant ainsi en cause ses possibilités à être chef de ceci ou de cela désormais dans l'attelage de Macky.
Une seule justification en est pourtant la cause qu'elle n'a pas encore saisie: la jalousie du Patron née de sa peur d'être succédé par elle à force de la responsabiliser depuis ses succès issus de sa gestion des dossiers judiciaires et de son fameux slogan "accélérer la cadence", que Macky percevait comme une preuve de son incapacité à faire bouger seul le pays.
Voilà pourquoi, Macky n'hésite pas à effacer le sujet dans sa qualité même d’être responsable partout où il pressent la possible éclosion de sa réputation en politique.
Macky ne cherche qu'à l'aliéner même à travers son titre pompeux, creux et vague d'Envoyée spéciale qui n'en est une que par le dindon de la farce après l'avoir défenestrée froidement comme on jette les effondrilles au milieu des immondices.
Envoyée, elle ne l'est que pour faire bouclier de son âme contre toute vérité de nature à nuire la gestion du Chef en mettant à nu les carences dont celle-ci souffre à plus d'un titre.
Démise de toutes les importantes fonctions qu'elle occupait, Directeur de campagne, ministre de la Justice, Premier ministre, Macky poursuit son entreprise de destruction massive en mettant même en péril l’intégrité sociale de la Dame en l'envoyant usurper une appartenance politique à Kaolack tout sachant que le sentiment profond qu'elle soit rejetée des autres, tel un intrus, reste le mieux partagé des autochtones.
Cette humiliation atteint en effet la valeur de celle-ci aux yeux des autres et, de fait, à ses yeux à elle qui la subit de plein fouet.
Mais hélas, tout ceci se comprend davantage dans la dialectique des relations humaines.
En effet, comme le dit Max, l’appartenance à un groupe, fut-il politique, suppose et développe un sentiment spécifique d’attrait chez les uns mais elle implique, dans le même temps, le rejet, la stigmatisation, l’exclusion de celui qui est alors défini comme une menace chez les autres.
Et Mimi en est une pour Macky.
La noirceur d'ébène encore est tombée des nues en apprenant à la dernière minute et par la presse qu'elle ne figure plus sur la liste des potentiels prochains députés tellement on la supposait devenir la première présidente de la 13e législature.
Longtemps sujette à l'humiliation de cette façon la plus intense, voire la plus radicale malgré le refus de l'admettre qui l'anime, Mimi est prise dans un engrenage de dévalorisation méprisante mettant ainsi en cause ses possibilités à être chef de ceci ou de cela désormais dans l'attelage de Macky.
Une seule justification en est pourtant la cause qu'elle n'a pas encore saisie: la jalousie du Patron née de sa peur d'être succédé par elle à force de la responsabiliser depuis ses succès issus de sa gestion des dossiers judiciaires et de son fameux slogan "accélérer la cadence", que Macky percevait comme une preuve de son incapacité à faire bouger seul le pays.
Voilà pourquoi, Macky n'hésite pas à effacer le sujet dans sa qualité même d’être responsable partout où il pressent la possible éclosion de sa réputation en politique.
Macky ne cherche qu'à l'aliéner même à travers son titre pompeux, creux et vague d'Envoyée spéciale qui n'en est une que par le dindon de la farce après l'avoir défenestrée froidement comme on jette les effondrilles au milieu des immondices.
Envoyée, elle ne l'est que pour faire bouclier de son âme contre toute vérité de nature à nuire la gestion du Chef en mettant à nu les carences dont celle-ci souffre à plus d'un titre.
Démise de toutes les importantes fonctions qu'elle occupait, Directeur de campagne, ministre de la Justice, Premier ministre, Macky poursuit son entreprise de destruction massive en mettant même en péril l’intégrité sociale de la Dame en l'envoyant usurper une appartenance politique à Kaolack tout sachant que le sentiment profond qu'elle soit rejetée des autres, tel un intrus, reste le mieux partagé des autochtones.
Cette humiliation atteint en effet la valeur de celle-ci aux yeux des autres et, de fait, à ses yeux à elle qui la subit de plein fouet.
Mais hélas, tout ceci se comprend davantage dans la dialectique des relations humaines.
En effet, comme le dit Max, l’appartenance à un groupe, fut-il politique, suppose et développe un sentiment spécifique d’attrait chez les uns mais elle implique, dans le même temps, le rejet, la stigmatisation, l’exclusion de celui qui est alors défini comme une menace chez les autres.
Et Mimi en est une pour Macky.
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