Figurer parmi les 100 meilleurs réformateurs au monde dans le classement du Doing Business 2018. Tel était l'objectif que s'était fixé le gouvernement du Sénégal pour cette année. A l'arrivée, c'est un véritable flop, car le pays est classé 140e mondial avec seulement un gain de 7 places par rapport à 2017. La Directrice des Opérations de la Banque Mondiale, Louise Cord, a suggéré mardi dernier, lors de la publication du rapport, des pistes pour permettre au Sénégal d'approfondir les réformes et d'améliorer sa compétitivité.
Dans le classement 2018 du Doing Business, le pays de la Teranga (économique ?) fait partie des 5 meilleurs réformateurs d'Afrique. Sur le plan mondial, le Sénégal a enregistré un bond en avant de 7 places, par rapport à l'année dernière, en se positionnant à la 140e place du classement. Une position qui fausse l'objectif que le gouvernement s'était fixé en 2017, comme le soulignent nos confrères d'EnQuête dans leur parution du jeudi. En effet, le journal rappelle que les autorités voulaient que le pays intègre le top 100 des meilleurs réformateurs mondiaux.
"Certes, il y a des progrès accompli. Mais il ne faut pas perdre de vue qu'il reste beaucoup à faire pour l'ensemble des pays de la région, pour rivaliser avec les économies connues comme les meilleures réformatrices. En effet, la majeure partie des pays en Afrique Subsaharienne, même ceux qui ont enregistré une nette amélioration, demeurent au plus bas du plafond de compétitivité", a signalé Louise Cord, dans son allocution lors de la publication du rapport avant-hier mardi.
Avec Dakarmatin
Dans le classement 2018 du Doing Business, le pays de la Teranga (économique ?) fait partie des 5 meilleurs réformateurs d'Afrique. Sur le plan mondial, le Sénégal a enregistré un bond en avant de 7 places, par rapport à l'année dernière, en se positionnant à la 140e place du classement. Une position qui fausse l'objectif que le gouvernement s'était fixé en 2017, comme le soulignent nos confrères d'EnQuête dans leur parution du jeudi. En effet, le journal rappelle que les autorités voulaient que le pays intègre le top 100 des meilleurs réformateurs mondiaux.
"Certes, il y a des progrès accompli. Mais il ne faut pas perdre de vue qu'il reste beaucoup à faire pour l'ensemble des pays de la région, pour rivaliser avec les économies connues comme les meilleures réformatrices. En effet, la majeure partie des pays en Afrique Subsaharienne, même ceux qui ont enregistré une nette amélioration, demeurent au plus bas du plafond de compétitivité", a signalé Louise Cord, dans son allocution lors de la publication du rapport avant-hier mardi.
Avec Dakarmatin
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