En marge de la 4e Conférence des Nations Unies sur le financement du développement, tenue ce lundi à Séville, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye s’est entretenu avec son homologue français Emmanuel Macron. Cette rencontre bilatérale, annoncée publiquement par les deux chefs d’État sur le réseau social X (anciennement Twitter), a mis en lumière une volonté commune de réinventer les relations entre Dakar et Paris, dans un contexte géopolitique en pleine mutation.
« En marge de la Conférence de Séville, j’ai échangé avec le Président Emmanuel Macron sur la coopération entre le Sénégal et la France, ainsi que sur les enjeux régionaux et internationaux d’intérêt commun », a déclaré le président Faye. Une déclaration qui illustre la volonté du nouveau chef de l’État sénégalais de s’inscrire dans un dialogue constructif avec les partenaires traditionnels, tout en affirmant une vision souveraine et équitable des relations internationales.
De son côté, Emmanuel Macron a salué une rencontre « en pleine refonte » du partenariat entre les deux pays. Il a insisté sur la nécessité de bâtir une coopération « au service des intérêts de nos peuples et de notre souveraineté », évoquant une nouvelle dynamique couvrant les domaines économique, sécuritaire, culturel, mémoriel et de défense.
Le président français a également souligné l’importance du rôle du Sénégal dans la stabilité régionale et sa contribution aux grandes causes globales, affirmant suivre de près, avec son homologue sénégalais, les partenariats en cours dans plusieurs secteurs stratégiques.
Lors de son intervention à la Conférence, le président Diomaye Faye a, par ailleurs, plaidé pour une réforme en profondeur de la gouvernance financière mondiale. Il a appelé à une gestion plus équitable de la dette, à une justice fiscale internationale et à un meilleur accès aux financements pour les pays du Sud. Insistant sur l’urgence d’une approche centrée sur l’humain, il a exhorté la communauté internationale à revoir les priorités du système financier mondial.
Cette rencontre marque une étape importante dans la redéfinition des relations entre le Sénégal et la France, dans un climat où les attentes en matière de souveraineté, de respect mutuel et de coopération gagnant-gagnant sont de plus en plus fortes sur le continent africain. Elle ouvre la voie à un dialogue renouvelé, à la croisée des intérêts partagés et des aspirations d’indépendance politique et économique.
« En marge de la Conférence de Séville, j’ai échangé avec le Président Emmanuel Macron sur la coopération entre le Sénégal et la France, ainsi que sur les enjeux régionaux et internationaux d’intérêt commun », a déclaré le président Faye. Une déclaration qui illustre la volonté du nouveau chef de l’État sénégalais de s’inscrire dans un dialogue constructif avec les partenaires traditionnels, tout en affirmant une vision souveraine et équitable des relations internationales.
De son côté, Emmanuel Macron a salué une rencontre « en pleine refonte » du partenariat entre les deux pays. Il a insisté sur la nécessité de bâtir une coopération « au service des intérêts de nos peuples et de notre souveraineté », évoquant une nouvelle dynamique couvrant les domaines économique, sécuritaire, culturel, mémoriel et de défense.
Le président français a également souligné l’importance du rôle du Sénégal dans la stabilité régionale et sa contribution aux grandes causes globales, affirmant suivre de près, avec son homologue sénégalais, les partenariats en cours dans plusieurs secteurs stratégiques.
Lors de son intervention à la Conférence, le président Diomaye Faye a, par ailleurs, plaidé pour une réforme en profondeur de la gouvernance financière mondiale. Il a appelé à une gestion plus équitable de la dette, à une justice fiscale internationale et à un meilleur accès aux financements pour les pays du Sud. Insistant sur l’urgence d’une approche centrée sur l’humain, il a exhorté la communauté internationale à revoir les priorités du système financier mondial.
Cette rencontre marque une étape importante dans la redéfinition des relations entre le Sénégal et la France, dans un climat où les attentes en matière de souveraineté, de respect mutuel et de coopération gagnant-gagnant sont de plus en plus fortes sur le continent africain. Elle ouvre la voie à un dialogue renouvelé, à la croisée des intérêts partagés et des aspirations d’indépendance politique et économique.
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