Si du côté du pouvoir, des activistes font croire à l’opinion que «Y’en a marre» est un mouvement en perte de vitesse incapable de les inquiéter, alors pourquoi versent-ils dans la surenchère des dénigrements, des philippiques, des déballages, des accusations de corruption pour qualifier voire crucifier ce mouvement citoyen ? La psychose a envahi les rangs du pouvoir au point que des laquais du Prince rivalisent d’ardeur pour évacuer, à travers des outrances verbales sur Fadel Barro et compagnie, leur hystérie collective.
Ainsi ce florilège des outrances discursives en dit long sur leur degré de trouble panique :
«Le groupe Y en a marre a oublié les énormes efforts déployés par le chef de l’Etat pour sauver ses membres des prisons congolaises et manifeste aujourd’hui son ingratitude en taxant le régime actuel de tous les noms d’oiseaux... Apprentis musiciens en mal d’inspiration et de popularité vivant de mercenariat politique, ils sont maintenant désœuvrés et font feu de tout bois pour redorer leur blason. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre leur sortie scandaleuse pour inviter les jeunes à manifester à la place de l’Obélisque en vue d’insulter la justice et par la même occasion jeter le discrédit sur toutes les réalisation du président de la République», Youssou Touré.
«Fadel Barro et ses camarades ne sont rien d’autre qu’un groupe de parasites sociaux, qui utilise le vernis de la dénonciation de la souffrance supposée des Sénégalais», Moustapha Diakhaté.
«Des maîtres chanteurs experts dans l'art de soutirer des sous à ceux qu’ils vilipendent, ce sont des chats gris œuvrant la nuit…Thiat et Kilifa ont récemment sollicité le pouvoir dans le cadre de l’organisation de l’anniversaire de leur groupe de rap, empochant pour la circonstance quelques six millions de francs CFA», Yakham Mbaye.
«Après son échec retentissant et lamentable lors du référendum du 20 mars 2016, le groupuscule Y’en a marre sort encore du bois avec un slogan bouffon, grotesque et sot.
En plus d’être aveugles, sont devenus des zombies citoyens ambulants… Le rassemblement d’un million de personnes prévu est une affabulation, une imposture qui ne va, comme à l’accoutumée, accoucher que d’une petite souris… Décidément, il pousse sa sottise jusqu’à vouloir se prendre pour les chevaliers du peuple», Thérèse Faye de la Cojer.
«Les Sénégalais ne sortiront pas le 7 avril et que Y en a marre est incapable de mobiliser le nombre de Sénégalais qu’il avance. Les Sénégalais n’ont aucune raison de répondre à l’appel des activistes», Abdou Mbow.
«Tout le monde sait qu’ils avaient reçu de l’argent de la part de Lamine Diack. Et maintenant, ils ne cherchent qu’à justifier les fonds qu’ils ont encaissé de la Caisse d’avance», Matar Diop de la Cojem.
«La coalition Macky 2012 entend démontrer que Thiat et ses camarades n'ont pas le monopole de la vérité. Ils ne seront pas les seuls. Macky 2012 sera au cœur de cette manifestation… Cette coalition possède en son sein de nombreux éléments qui ont appris et maîtrisé les techniques de contre-manifestations à l'étranger», Moustapha Fall Che.
Mais dans ce lot d’activistes, il y en a un qui se comporte comme un forban. Le forban, terme apparu, au dix-septième siècle, dans la langue française, signifie «un pirate qui entreprend à son profit une expédition armée sur mer sans autorisation, ni commission, ni lettre de marque d’un souverain». Par extension du sens, il s’agit également d’un «individu sans scrupules capable de tous les méfaits, homme sans scrupule, qui ne respecte aucune loi, aucun droit.»
Je veux parler du secrétaire d’Etat à la Communication, Yakham Mbaye qui s’illustre plus par ses insultes, ses enfantillages, son arrogance que par ses performances dans le département qu’il dirige avec dilettantisme. Yakham ne se distingue que dans des querelles de bas étages qui n’honorent pas son rang de ministre ou secrétaire d’Etat (que sais-je ?) : joutes oratoires dans la presse, attaques virulentes dans des meetings, tentative de pugilat à la résidence de l’ambassade du Sénégal en France… Comment qualifier, devant le préfet, son comportement enfantin qui, dans notre prime jeunesse, renvoie à cette image de «Ndieukeunté» pour être le premier servi ?
L’attitude de Yakham Mbaye montre que le bonhomme manque d’altitude pour s’asseoir autour de la table du Conseil des ministres. Il est de notoriété publique que le président Macky Sall a enjoint à son opiniâtre secrétaire d’Etat de surseoir à son projet de contre-manifestation. Mais que nenni ! Sa persévérance dans la balourdise montre le Chef de l’APR souffre d’un déficit d’autorité car une telle initiative, qui devait faire l’objet d’une décision des instances appropriées de l’APR, émane d’une seule personne qui, in fine, les engagera tous.
Maintenant qui arme l’intrépide Yakham à persévérer dans la voie qu’il s’est tracée en sapant l’autorité du canasson en chef ? Mystère et boule de gomme !
Voilà donc le nouveau héros d'un pouvoir déboussolé profitant honteusement de sa place pour fouler au pied toutes les lois et règles démocratiques qui constituent le socle de la République.
Moussa Oumy Sène, militant de la société citoyenne
Ainsi ce florilège des outrances discursives en dit long sur leur degré de trouble panique :
«Le groupe Y en a marre a oublié les énormes efforts déployés par le chef de l’Etat pour sauver ses membres des prisons congolaises et manifeste aujourd’hui son ingratitude en taxant le régime actuel de tous les noms d’oiseaux... Apprentis musiciens en mal d’inspiration et de popularité vivant de mercenariat politique, ils sont maintenant désœuvrés et font feu de tout bois pour redorer leur blason. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre leur sortie scandaleuse pour inviter les jeunes à manifester à la place de l’Obélisque en vue d’insulter la justice et par la même occasion jeter le discrédit sur toutes les réalisation du président de la République», Youssou Touré.
«Fadel Barro et ses camarades ne sont rien d’autre qu’un groupe de parasites sociaux, qui utilise le vernis de la dénonciation de la souffrance supposée des Sénégalais», Moustapha Diakhaté.
«Des maîtres chanteurs experts dans l'art de soutirer des sous à ceux qu’ils vilipendent, ce sont des chats gris œuvrant la nuit…Thiat et Kilifa ont récemment sollicité le pouvoir dans le cadre de l’organisation de l’anniversaire de leur groupe de rap, empochant pour la circonstance quelques six millions de francs CFA», Yakham Mbaye.
«Après son échec retentissant et lamentable lors du référendum du 20 mars 2016, le groupuscule Y’en a marre sort encore du bois avec un slogan bouffon, grotesque et sot.
En plus d’être aveugles, sont devenus des zombies citoyens ambulants… Le rassemblement d’un million de personnes prévu est une affabulation, une imposture qui ne va, comme à l’accoutumée, accoucher que d’une petite souris… Décidément, il pousse sa sottise jusqu’à vouloir se prendre pour les chevaliers du peuple», Thérèse Faye de la Cojer.
«Les Sénégalais ne sortiront pas le 7 avril et que Y en a marre est incapable de mobiliser le nombre de Sénégalais qu’il avance. Les Sénégalais n’ont aucune raison de répondre à l’appel des activistes», Abdou Mbow.
«Tout le monde sait qu’ils avaient reçu de l’argent de la part de Lamine Diack. Et maintenant, ils ne cherchent qu’à justifier les fonds qu’ils ont encaissé de la Caisse d’avance», Matar Diop de la Cojem.
«La coalition Macky 2012 entend démontrer que Thiat et ses camarades n'ont pas le monopole de la vérité. Ils ne seront pas les seuls. Macky 2012 sera au cœur de cette manifestation… Cette coalition possède en son sein de nombreux éléments qui ont appris et maîtrisé les techniques de contre-manifestations à l'étranger», Moustapha Fall Che.
Mais dans ce lot d’activistes, il y en a un qui se comporte comme un forban. Le forban, terme apparu, au dix-septième siècle, dans la langue française, signifie «un pirate qui entreprend à son profit une expédition armée sur mer sans autorisation, ni commission, ni lettre de marque d’un souverain». Par extension du sens, il s’agit également d’un «individu sans scrupules capable de tous les méfaits, homme sans scrupule, qui ne respecte aucune loi, aucun droit.»
Je veux parler du secrétaire d’Etat à la Communication, Yakham Mbaye qui s’illustre plus par ses insultes, ses enfantillages, son arrogance que par ses performances dans le département qu’il dirige avec dilettantisme. Yakham ne se distingue que dans des querelles de bas étages qui n’honorent pas son rang de ministre ou secrétaire d’Etat (que sais-je ?) : joutes oratoires dans la presse, attaques virulentes dans des meetings, tentative de pugilat à la résidence de l’ambassade du Sénégal en France… Comment qualifier, devant le préfet, son comportement enfantin qui, dans notre prime jeunesse, renvoie à cette image de «Ndieukeunté» pour être le premier servi ?
L’attitude de Yakham Mbaye montre que le bonhomme manque d’altitude pour s’asseoir autour de la table du Conseil des ministres. Il est de notoriété publique que le président Macky Sall a enjoint à son opiniâtre secrétaire d’Etat de surseoir à son projet de contre-manifestation. Mais que nenni ! Sa persévérance dans la balourdise montre le Chef de l’APR souffre d’un déficit d’autorité car une telle initiative, qui devait faire l’objet d’une décision des instances appropriées de l’APR, émane d’une seule personne qui, in fine, les engagera tous.
Maintenant qui arme l’intrépide Yakham à persévérer dans la voie qu’il s’est tracée en sapant l’autorité du canasson en chef ? Mystère et boule de gomme !
Voilà donc le nouveau héros d'un pouvoir déboussolé profitant honteusement de sa place pour fouler au pied toutes les lois et règles démocratiques qui constituent le socle de la République.
Moussa Oumy Sène, militant de la société citoyenne
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