Amadou Ba reconnaît tout de même que la fixité du taux de change peut avoir un inconvénient.
"Je pense qu’on en parle régulièrement parce que nous n’avons pas de possibilité d’utiliser aujourd’hui les instruments monétaires dans notre politique mais nous devons travailler sur le réel", ajoute-t-il.
"Nous devons mettre en œuvre les réformes, avoir une croissance forte, maîtriser notre déficit, avant de parler d’une sortie éventuelle du Franc Cfa.l faut qu’on ait d’abord la monnaie de la Cedeao avant d’abandonner le Franc CFA" , poursuit le ministre.