L’année scolaire 2021-2022 entame son deuxième trimestre, dans un contexte marqué par la campagne électorale et la Can, des événements devenus de véritables centres d’intérêts pour les Sénégalais.
La campagne électorale déroule sa dernière phase, avec une forte présence d’acteurs de l’éducation (ministres, directeurs, responsables d’organisations d’enseignants et d’associations de parents). Il s’y ajoute qu’une grande partie des apprenants constitue des électeurs potentiels.
«Elles pèsent lourdement sur le secteur, car elles mobilisent plus de 6 millions d’électeurs dont une bonne partie d’apprenants et d’enseignants mais aussi des milliers d’enseignants sur qui repose le fonctionnement correct des 6 639 lieux de vote », constate la Cosydep, pour le déplorer.
Dès lors, « il se pose la question de la nécessité d’un retour sur investissement de la part des élus, pour les 6 millions d’apprenants en quête de perspectives d’avenir», alerte le Cosydep. Il y a aussi, signale le Cosydep, la Coupe d’Afrique des Nations de football laquelle est en train d’exercer une réelle attraction sur les apprenants comme sur les enseignants’’.
Il y a également les plans d’actions de syndicats d’enseignants, menaçant la continuité des apprentissages avec des débrayages, manifestations de rue et grèves totales. L’éducation étant un enjeu à la fois national et local, la Cosydep invite l'État central tout comme les collectivités territoriales à s’investir davantage dans la protection des jeunes apprenants qui représentent l’avenir de notre pays.
Par ailleurs la COSYDEP a invité les candidats à prendre des engagements documentés, réalistes et sincères face aux questions qui perdurent et qui doivent trouver des solutions. Et elle a rappelé aux acteurs politiques que les joutes électorales devraient être des opportunités d’éducation à travers les débats, les manifestations et autres réflexions qui doivent être des occasions d’enseignement à distance pour renforcer la mission d’éducation de l’école.
La campagne électorale déroule sa dernière phase, avec une forte présence d’acteurs de l’éducation (ministres, directeurs, responsables d’organisations d’enseignants et d’associations de parents). Il s’y ajoute qu’une grande partie des apprenants constitue des électeurs potentiels.
«Elles pèsent lourdement sur le secteur, car elles mobilisent plus de 6 millions d’électeurs dont une bonne partie d’apprenants et d’enseignants mais aussi des milliers d’enseignants sur qui repose le fonctionnement correct des 6 639 lieux de vote », constate la Cosydep, pour le déplorer.
Dès lors, « il se pose la question de la nécessité d’un retour sur investissement de la part des élus, pour les 6 millions d’apprenants en quête de perspectives d’avenir», alerte le Cosydep. Il y a aussi, signale le Cosydep, la Coupe d’Afrique des Nations de football laquelle est en train d’exercer une réelle attraction sur les apprenants comme sur les enseignants’’.
Il y a également les plans d’actions de syndicats d’enseignants, menaçant la continuité des apprentissages avec des débrayages, manifestations de rue et grèves totales. L’éducation étant un enjeu à la fois national et local, la Cosydep invite l'État central tout comme les collectivités territoriales à s’investir davantage dans la protection des jeunes apprenants qui représentent l’avenir de notre pays.
Par ailleurs la COSYDEP a invité les candidats à prendre des engagements documentés, réalistes et sincères face aux questions qui perdurent et qui doivent trouver des solutions. Et elle a rappelé aux acteurs politiques que les joutes électorales devraient être des opportunités d’éducation à travers les débats, les manifestations et autres réflexions qui doivent être des occasions d’enseignement à distance pour renforcer la mission d’éducation de l’école.
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