Le personnel enseignant et administratif de l’Institution Sainte Jeanne d’Arc (Isja) a exprimé sa désolation, suite à «l’amalgame» fait entre le rôle de l’établissement et les croyances sacro-saintes des uns et des autres dans l’affaire dite de l’interdiction du voile aux élèves musulmanes.
On ne les avait pas entendus depuis l’éclatement de l’affaire dite du port du voile. Les agents de l’établissement sortent enfin de leur mutisme. Dans un communiqué, rapporte la Rfm, le personnel de l’institution a déploré la tournure qu’a prise l’affaire. Il évoque la volonté de la direction de l’établissement de retrouver la même tenue des élèves dans la cour de l’école et dans les salles de classe.
Dans le communiqué, le personnel reconnait que les filles voilées font parties des élèves les plus studieuses, les plus sérieuses et les plus intègres de l’établissement. Et de poser les questions suivantes : « Comment pourrait-on décider d’exclure ces élèves de l’école ? Qu’est-ce qui dans le règlement remet en cause la laïcité de l’établissement dans ce pays qui leur est cher ? »
Ils (personnel enseignant et administratif) rappellent le souhait de la direction et non la France, de retrouver la même tenue des apprenants dans la cour de l’établissement scolaire et dans les salles de classe. A noter qu’ils ont invité le président de la République, Macky Sall, le ministre de l’Education, à éviter le piège de l’intolérance religieuse et la délibération hâtive.
On ne les avait pas entendus depuis l’éclatement de l’affaire dite du port du voile. Les agents de l’établissement sortent enfin de leur mutisme. Dans un communiqué, rapporte la Rfm, le personnel de l’institution a déploré la tournure qu’a prise l’affaire. Il évoque la volonté de la direction de l’établissement de retrouver la même tenue des élèves dans la cour de l’école et dans les salles de classe.
Dans le communiqué, le personnel reconnait que les filles voilées font parties des élèves les plus studieuses, les plus sérieuses et les plus intègres de l’établissement. Et de poser les questions suivantes : « Comment pourrait-on décider d’exclure ces élèves de l’école ? Qu’est-ce qui dans le règlement remet en cause la laïcité de l’établissement dans ce pays qui leur est cher ? »
Ils (personnel enseignant et administratif) rappellent le souhait de la direction et non la France, de retrouver la même tenue des apprenants dans la cour de l’établissement scolaire et dans les salles de classe. A noter qu’ils ont invité le président de la République, Macky Sall, le ministre de l’Education, à éviter le piège de l’intolérance religieuse et la délibération hâtive.
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