Les sanctions financières qui ciblent les dirigeants de la junte sont en revanche maintenues.
Le Mali reste également suspendu des instances de la Cédéao. Les décisions prises ce dimanche par l'organisation régionale, à effet immédiat, constituent néanmoins une avancée très importante.
Alors que la Cédéao exige la non-participation des autorités aux futures élections, Sory Ibrahima Traoré, président du Front pour l'émergence et le renouveau du Mali, estime que levée de sanctions est une justice pour le peuple malien, car « à aucun moment, le colonel Assimi Goïta n’a exprimé une volonté de participer aux élections ».