Face aux arrestations, pressions économiques et atteintes aux libertés, le Front pour la Démocratie et la République tire la sonnette d’alarme et appelle à un dialogue national.
La Conférence des Leaders du Front pour la Démocratie et la défense de la République (FDR) a exprimé, ce jeudi, sa vive préoccupation face à une série d’événements qu’elle qualifie de graves reculs démocratiques au Sénégal. Dans un communiqué, le FDR dénonce une « dérive autoritaire » marquée par des arrestations arbitraires, des atteintes à la liberté de la presse, des licenciements massifs et la suppression de bourses sociales. Le Front appelle à un sursaut national pour défendre les acquis démocratiques.
Parmi les faits les plus préoccupants selon le FDR figure l’arrestation du chroniqueur Badara Gadiaga, que le Front considère comme emblématique d’une campagne de répression contre la liberté d’expression. Le communiqué souligne que ces arrestations alimentent un climat de peur et d’incertitude, en contradiction avec les principes fondamentaux de l’État de droit.
Le FDR alerte également sur une série de décisions qu’il estime préjudiciables à la paix sociale :
Le FDR appelle les autorités à mettre un terme aux pratiques répressives et à engager un véritable dialogue national, autour de priorités urgentes :
« Le temps n’est plus aux calculs politiciens, mais à l’action pour sauver ce qui peut l’être encore », conclut le communiqué du FDR. Dans un contexte politique tendu, cette sortie marque une escalade verbale significative et relance le débat sur l’état des libertés et de la gouvernance au Sénégal.
La Conférence des Leaders du Front pour la Démocratie et la défense de la République (FDR) a exprimé, ce jeudi, sa vive préoccupation face à une série d’événements qu’elle qualifie de graves reculs démocratiques au Sénégal. Dans un communiqué, le FDR dénonce une « dérive autoritaire » marquée par des arrestations arbitraires, des atteintes à la liberté de la presse, des licenciements massifs et la suppression de bourses sociales. Le Front appelle à un sursaut national pour défendre les acquis démocratiques.
Parmi les faits les plus préoccupants selon le FDR figure l’arrestation du chroniqueur Badara Gadiaga, que le Front considère comme emblématique d’une campagne de répression contre la liberté d’expression. Le communiqué souligne que ces arrestations alimentent un climat de peur et d’incertitude, en contradiction avec les principes fondamentaux de l’État de droit.
Le FDR alerte également sur une série de décisions qu’il estime préjudiciables à la paix sociale :
- Mises sous pression de certaines entreprises, y compris des organes de presse
- Licenciements en cascade dans plusieurs secteurs
- Suppression massive des bourses de sécurité familiale, perçue comme une atteinte à la solidarité nationale dans un contexte de cherté de la vie
Le communiqué évoque une crise de gouvernance, marquée par un « déficit de cap » et un manque d’« horizons viables » pour les citoyens. Sur le plan international, le FDR déplore une « évanescence diplomatique » et un affaiblissement de la voix du Sénégal sur la scène africaine et mondiale.
Le FDR appelle les autorités à mettre un terme aux pratiques répressives et à engager un véritable dialogue national, autour de priorités urgentes :
- Création d’emplois
- Justice sociale
- Pouvoir d’achat
- Liberté de la presse
- Souveraineté économique
« Le temps n’est plus aux calculs politiciens, mais à l’action pour sauver ce qui peut l’être encore », conclut le communiqué du FDR. Dans un contexte politique tendu, cette sortie marque une escalade verbale significative et relance le débat sur l’état des libertés et de la gouvernance au Sénégal.
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