‼️ #Véhicule_des_députés‼️
— Fatou Cissé GOUDIABY (@FatouC_Goudiaby) May 19, 2025
Posons donc le débat:
(avoir choisi de quitter 23 ans de CDI en tant que Cadre pour se consacrer pleinement à la mission, décider de se rendre chaque mois à Dakar Insha Allah) ce ne sera donc pas un tabou pour nous de parler de véhicules.
▪️… pic.twitter.com/JpwGbJc9Vj
Parmi les évolutions notables, elle souligne la nouvelle gestion des véhicules officiels, qui marque une nette inflexion par rapport aux pratiques précédentes. « Avant la 15ᵉ législature, les présidents de commission disposaient de deux véhicules. Désormais, avec le président El Malick Ndiaye, le député conserve un seul véhicule, qui lui sert également en cas de présidence de commission. Et lorsqu’il quitte cette fonction, son successeur prend la relève avec son propre véhicule », a-t-elle expliqué.
Autre changement majeur : la fin des indemnisations controversées. « Aucune indemnité de 900 000 FCFA n’a été versée depuis le début de l’année 2025, car elle n’était pas prévue dans le budget », a précisé la parlementaire, saluant cet effort de transparence et de rigueur dans la gestion des ressources publiques. Elle a également insisté sur la dynamique de modernisation de l’institution, en affirmant que chaque député est désormais mis « dans les conditions minimales mais indispensables pour travailler ».
Selon elle, cela traduit la volonté d’aller vers une Assemblée nationale davantage professionnalisée, où le travail parlementaire prend le pas sur les privilèges.
« Il n’aura d’autre choix que de travailler, encore travailler, et toujours travailler », a-t-elle conclu.
