Depuis la cérémonie de distinction des meilleurs élèves du Sénégal au Grand Théâtre, le débat a été ravivé. Lors de cet événement, Ousmane Sonko a été interpellé par une lauréate sur la question de la prise en charge des Daara au Sénégal et a également abordé le sujet du port du voile, ce qui a suscité une vive polémique.
Cette controverse n'est pas nouvelle. En 2019, l'interdiction du voile par l'Institution Jeanne d'Arc avait amené plusieurs figures religieuses à se prononcer, dont Oustaz Alioune Sall.
Le prêcheur affirmait que « c’est irrationnel de vouloir inscrire son enfant dans un établissement où l’islam n’est pas respecté tout en imposant le port du voile, qui peut être interdit. Les établissements qui interdisent le voile agissent selon leur règlement intérieur », a-t-il précisé, lui-même animateur d’une des émissions religieuses les plus populaires sur Sud FM.
Oustaz Alioune Sall estimait à l'epoque que l’essentiel est de créer de grandes écoles où nos enfants peuvent apprendre la religion dans un cadre qui nous est propre. « On ne demandera jamais à un parent pourquoi son enfant n’a pas fréquenté tel établissement, mais pourquoi elle n’a pas porté le voile. Chaque établissement a son propre règlement intérieur », a-t-il ajouté.
Pour rappel, le Premier ministre Ousmane Sonko avait affirmé en début de semaine dernière que « l’État ne tolérera plus que les filles portant le voile soient exclues de certaines écoles au Sénégal. Nous vivons dans un pays de tolérance », avait-il déclaré.
Cette controverse n'est pas nouvelle. En 2019, l'interdiction du voile par l'Institution Jeanne d'Arc avait amené plusieurs figures religieuses à se prononcer, dont Oustaz Alioune Sall.
Le prêcheur affirmait que « c’est irrationnel de vouloir inscrire son enfant dans un établissement où l’islam n’est pas respecté tout en imposant le port du voile, qui peut être interdit. Les établissements qui interdisent le voile agissent selon leur règlement intérieur », a-t-il précisé, lui-même animateur d’une des émissions religieuses les plus populaires sur Sud FM.
Oustaz Alioune Sall estimait à l'epoque que l’essentiel est de créer de grandes écoles où nos enfants peuvent apprendre la religion dans un cadre qui nous est propre. « On ne demandera jamais à un parent pourquoi son enfant n’a pas fréquenté tel établissement, mais pourquoi elle n’a pas porté le voile. Chaque établissement a son propre règlement intérieur », a-t-il ajouté.
Pour rappel, le Premier ministre Ousmane Sonko avait affirmé en début de semaine dernière que « l’État ne tolérera plus que les filles portant le voile soient exclues de certaines écoles au Sénégal. Nous vivons dans un pays de tolérance », avait-il déclaré.
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