Bien que la situation en Ukraine soit “complexe, avec des interprétations différentes de ce qui s’y passe”, il est possible d’avoir un “dialogue sérieux sur la manière d’œuvrer au mieux à minimiser la souffrance des gens”, a-t-il ajouté.
Après son entretien avec M. Lavrov, M. Guterres devait être reçu par le président Vladimir Poutine.
Après Moscou, il doit se rendre à Kiev, où son choix d’aller d’abord en Russie a été vivement critiqué, le président Volodymyr Zelensky disant ne voir “aucune justice et aucune logique dans cet ordre”.
Depuis le début de l’intervention russe en Ukraine le 24 février, l’ONU est apparue marginalisée dans le conflit, entre autres à cause de la rupture provoquée par cette crise entre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité dont Moscou fait partie avec Washington, Paris, Londres et Pékin.