Ce mercredi, des voilées se sont présentées, pour pourvoir participer aux cours, après avoir payé leurs inscriptions. Rencontrée, devant la porte en compagnie de ses nombreuses camardes venues la soutenir, Maria Nwedr, élève en classe de première (bien sur si elle est acceptée) se demande comment « un morceau de tissu mis sur la tête peut gêner dans un pays comme le Sénégal où 95 % des populations sont des musulmanes ».
Décidée à finir ses études dans cet établissement, où elle a passé tout son cursus depuis la Primaire, la jeune lycéenne "sénégalo-syrienne " ne ménagera aucun effort pour briser cette règle établie par son école « je vais rentrer dans l’école, même si on me dégage », lâche-t-elle au micro de PressAfrik.
Avec Pressafrik