Le chroniqueur Badara Gadiaga est sorti de sa réserve ce mercredi pour exprimer publiquement son soutien à son confrère Bachir Fofana, convoqué par la police dans des conditions qui suscitent une vive inquiétude au sein de la presse sénégalaise.
Dans un message relayé sur les réseaux sociaux, le chroniqueur phare de l’émission Jaakarlo Bi sur la TFM a dénoncé ce qu’il qualifie de grave atteinte à la liberté de la presse, tout en rappelant le rôle indispensable des journalistes dans toute démocratie véritable.
« J’apporte mon soutien total et sans réserve au journaliste Bachir Fofana, ainsi qu’à tous les professionnels des médias qui, aujourd’hui encore, exercent leur mission d’informer au péril de leur liberté », a déclaré Badara Gadiaga.
Pour lui, cette convocation représente « une violation manifeste de la liberté de la presse, pilier essentiel de notre démocratie, qu’il convient de préserver à tout prix ». Une prise de position qui s’inscrit dans un contexte de plus en plus tendu entre certains médias et les autorités, marqué par des signaux d’alerte sur les pressions croissantes exercées à l’encontre des journalistes.
À ce stade, les autorités n’ont pas encore communiqué officiellement sur les raisons précises de cette convocation. Mais dans un climat déjà chargé, cette affaire relance le débat sur la protection des journalistes et la nécessité de garantir les libertés fondamentales au Sénégal.
Dans un message relayé sur les réseaux sociaux, le chroniqueur phare de l’émission Jaakarlo Bi sur la TFM a dénoncé ce qu’il qualifie de grave atteinte à la liberté de la presse, tout en rappelant le rôle indispensable des journalistes dans toute démocratie véritable.
« J’apporte mon soutien total et sans réserve au journaliste Bachir Fofana, ainsi qu’à tous les professionnels des médias qui, aujourd’hui encore, exercent leur mission d’informer au péril de leur liberté », a déclaré Badara Gadiaga.
Pour lui, cette convocation représente « une violation manifeste de la liberté de la presse, pilier essentiel de notre démocratie, qu’il convient de préserver à tout prix ». Une prise de position qui s’inscrit dans un contexte de plus en plus tendu entre certains médias et les autorités, marqué par des signaux d’alerte sur les pressions croissantes exercées à l’encontre des journalistes.
À ce stade, les autorités n’ont pas encore communiqué officiellement sur les raisons précises de cette convocation. Mais dans un climat déjà chargé, cette affaire relance le débat sur la protection des journalistes et la nécessité de garantir les libertés fondamentales au Sénégal.
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