Le parti dénonce une mise en scène politique dont les conclusions seraient prédéfinies, vidant le processus de toute légitimité. Il accuse l’exécutif de manquer à ses engagements pris dans le cadre du Pacte de bonne gouvernance démocratique, et d'instrumentaliser le dialogue à des fins de communication.
S’appuyant sur les travaux de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI), République des Valeurs appelle à des réformes structurelles profondes : indépendance réelle de la justice, organisation d’élections libres et équitables, fin du système hyperprésidentialiste, respect des libertés fondamentales, et remise à plat des pratiques institutionnelles opaques.
Si le parti réaffirme son ouverture à tout dialogue franc et orienté vers l’intérêt général, il refuse catégoriquement de cautionner ce qu’il qualifie de « simulacre de dialogue », jugé contraire aux exigences d’un véritable renouveau démocratique.